Mariage de 1820 à 1829
M 18/01/1820 Michel WARNY et Anne Marie DESSAUCY (n°04)
L’An mil huit cent vingt, du mois de janvier le dix huitième jour, à dix heures du matin, par devant Nous, Guilleaume Joseph Delrée, maire adjoint délégué aux fonctions d’officier de l’état civil de la commune de Theux, sont comparus le sieur Michel Warny, domestique de labour âgé de vingt huit ans, neuf mois, demeurant à Sassor, mairie de Theux, né à Recht, royaume de Prusse, le vingt neuf mars an mil sept cent quatre vingt et onze, majeur fils du sieur Gaspar Warny, cultivateur ci-présent et consentant, demeurant au dit Recht et de Jeanne George, décédée au même lieu, le six juillet an mil huit cent dix sept, comme il est constaté par les extraits d’acte naissance et décès délivrés le vingt huit décembre dernier, par Monsieur, J.H. Morant, Bourgmestre adjoint officier public de l’état civil de la commune du dit Recht.
Et, la demoiselle Anne Marie Dessaucy, âgée de vingt trois ans, deux mois, née dans cette commune, le premier novembre an mil sept cent quatre vingt et seize, majeure fille du sieur Jerôme Joseph Dessaucy, propriétaire, ci présent et consentant, demeurant au dit lieu, de Sassor et de Jeanne Elisabeth Boniver, décédée à Theux, le seize novembre an mil huit cent et neuf.
Lesquels nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont les publications ont été faites devant la principale porte d’entrée de notre maison commune les dimanches deux etneuf de ce mois aux deux heures après midi et au dit Recht les mêmes jours comme il est constaté par le certificat de publication des promesses de mariage. Délivré le quinze du courant par le dit Monsieur Morant. Aucune opposition au dit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à leur réquisition, après avoir donné lecture en présence des parties et des témoins de toutes les pièces ci-dessus mentionnées et du chapitre six du titre du code civil intitulé du mariage, avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veuillent se prendre pour mari et pour femme ; chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement, déclarons au nom de la loi que les dits Michel Warny et Anne Marie Dessaucy sont unis par le mariage. De tout quoi avons dressé acte en présence des sieurs Nicolas Warny, domestique, âgé de vingt trois ans, frère du contractant, demeurant à Thiège, commune du Sart, de Jean Neimane, tisserand, âgé de quarante ans, de Henri Joseph Gaye, appariteur, âgé de trente cinq ans, et de Henri Joseph Michotte, tonnelier, âgé de soixante ans, demeurants à Theux, lesquels après qu’il leur en a été aussi été donné lecture l’ont signé avec nous, avec le père de la contractante, les parties contractantes, et le père du contractant ayant déclarés de ne savoir écrire ni signer leur noms.
M 25/06/1820 Jean Thomas JEHIN et Marie Françoise WAYAFFE (n°13)
L’An mil huit cent vingt, du mois de juin le vingt cinquième jour, à huit heures du matin, par devant Nous, Edmond Fyon, maire, officier de l’état civil de la commune de Theux, sont comparus le sieur Jean Thomas Jehin, journalier, âgé de trente quatre ans, neuf mois, demeurant à Marché, mairie de Theux, né dans cette commune, le vingt huit août an mil sept cent quatre vingt cinq, majeur fils du sieur Jean Thomas Jehin, journalier, ci présent et consentant, demeurant à Ensival et de Marie Catherine Wilkin, décédée dans cette commune, le deux septembre mil sept cent nonante cinq.
Et Marie Françoise Wayaffe, fileuse, âgée de vingt sept ans cinq mois, née dans cette commune, le six janvier an mil sept cent nonante trois, majeure fille de Jean Mathieu Wayaffe, décédé à Spixhe, mairie de Theux le seize mars an mil huit cent dix sept, et de Margueritte Pirson, fileuse, ci présente et consentante demeurant au dit lieu de Marché.
Lesquels nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont les publications ont été faites devant la principale porte d’entrée de notre maison commune les dimanches quatre et onze de ce mois aux deux heures de relevée et au dit Ensival les mêmes jours, comme il en conste par le certificat de publication des promesses de mariage délivré le quinze du courant par Monsieur Pierre Fassin maire de la commune dudit Ensival. Aucune opposition au dit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à leur réquisition et après avoir donné lecture en présence des parties et des témoins de toutes les pièces ci-dessus mentionnées et du chapitre six du titre du code civil intitulé du mariage, avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veuillent se prendre pour mari et pour femme ; chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement, déclarons au nom de la loi que les dits Jean Thomas Jehin et Marie Françoise Wayaffe sont unis par le mariage, de tout quoi avons dressé acte en, présence des sieurs Henri Joseph Dombar, journalier, âgé de vingt sept ans, beau frère de la contractante, de Thomas Thomson, journalier, âgé de quarante quatre ans, demeurant au dit Marché, de Thomas Joseph Talbot, poèlier, âgé de cinquante ans, et de Jean Talbot, journalier, âgé de cinquante quatre ans, demeurant à Juslenville, mairie de Theux, lesquels après qu’il leur en a été donné lecture ont signé avec nous, les dits Thomas Joseph Talbot et Jean Talbot, deux des dits témoins, les parties contractantes, leur père et mère et les deux autres témoins ayant déclaré de ne savoir écrire ni signer leurs nom.
M 11/10/1820 Philippe Jean Baptiste de LIMBOURG et Ernestine Joseph de HANSEZ (n°17)
L’An mil huit cent vingt, du mois d’octobre le onzième jour, à huit heures du matin, par devant Nous, Guilleaume Joseph Delrée, maire adjoint délégué aux fonctions d’officier de l’état civil de la commune de Theux, sont comparus monsieur Philippe Jean Baptiste de Limbourg, maître de forges, âgé de quarante six ans, huit mois, demeurant à Theux, né au même lieu, le dix neuf février an mil sept cent septante quatre, fils des défunts Jean Philippe de Limbourg et Marie Anne de Boniver, décédés au dit Theux le premier le premier du mois de février an mil huit cent onze, la seconde le vingt huit frimaire de l’an treize correspondant au dix neuf décembre mil huit cent et quatre.
Et, Mademoiselle Ernestine Joseph de Hansez, sans profession, âgée de trente six ans, née au dit Theux, le onze octobre an mil sept cent quatre vingt et quatre, fille de feu Monsieur Jacque Joseph de Hansez, décédé au même lieu le huit fructidor de l’an onze, correspondant au vingt six août mil huit cent et un et de Madame Anne Marie Joseph Dandrimont, rentière demeurant à Theux, laquelle a consenti au présent mariage par acte en brevet avenu devant maître Jean Nicolas Delrée, Notaire royal à la résidence de Reid, le six de ce mois enregistré au bureau de Spa le lendemain.
Lesquels nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont les publications ont été faites devant la principale porte d’entrée de notre maison commune les dimanches premier et huit du courant aux deux heures de relevée. Aucune opposition au dit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à leur réquisition après avoir donné lecture en présence des parties et des témoins de toutes les pièces ci-dessus mentionnées et du chapitre six du titre du code civil intitulé du mariage, avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veuillent se prendre pour mari et pour femme ; chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement, déclarons au nom de la loi que les dits Monsieur Philippe Jean Baptiste de Limbourg et mademoiselle Ernestine Joseph de Hansez sont unis par le mariage. De tout quoi nous avons dressé acte en présence de messieurs Théodore Mathieu Joseph Lefevre, rentier, âgé de cinquante six ans, demeurant à Liège, beau frère de la contractante, de Philippe Lambert Joseph de Marteau, négociant, âgé de trente quatre ans, beau frère de la contractante, d’Antoine Joseph Dandrimont, propriétaire, âgé de soixante cinq ans, oncle maternel de la contractante, et de Constantin Albert de Marteau, rentier, âgé de vingt un ans, demeurants à Theux, lesquels après qu’il leur en a été fait lecture et avoir déclarés et avoir déclarés que le contractant n’a plus ni aïeuls ni aïeules tant du côté paternel que maternel pour consentir à son mariage, l’ont signé avec nous, et les parties contractantes.
M 29/01/1821 Bertrand Joseph GOHY et Dieudonnée Joseph JACQUE (n°06)
L’An mil huit cent vingt un, du mois de janvier le vingt neuvième jour, à trois heures de relevée, par devant Nous, Guilleaume Joseph Delrée, maire adjoint délégué aux fonctions d’officier de l’état civil de la commune de Theux, sont comparus le sieur Bertrand Joseph Gohy, cultivateur, âgé de vingt quatre ans, né dans cette commune le douze février an mil sept cent quatre vingt et seize, majeur, fils du sieur Bertrand Joseph Gohy, propriétaire, et de Cécile Noël Vincent, ménagère, demeurants à Ronde Haye, mairie de Theux, ci présents et consentants,
Et Dieudonnée Joseph Jacque, journalière, âgée de vingt deux ans, huit mois, née dans cette commune, le dix neuf floréal de l’an six, correspondant au six may an mil sept cent nonante huit, majeure, fille de feu Antoine Jacque décédé à Pouillou Fourneau, mairie de Theux, le quatorze avril an mil huit cent treize, et de Marie Louise Herbillon, ménagère ci présente et consentante, demeurants au dit lieu de Pouillou Fourneau.
Lesquels nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont les publications ont été faites devant la principale porte d’entrée de notre maison commune les dimanches quatorze et vingt un de ce mois aux deux heures de relevée. Aucune opposition au dit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à leur réquisition, après avoir donné lecture en présence des parties et des témoins, de toutes les pièces ci-dessus mentionnées et du chapitre six du titre du code civil intitulé du mariage, avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veuillent se prendre pour mari et pour femme ; chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement, déclarons au nom de la loi que les dits Bertrand Joseph Gohy et Dieudonnée Joseph Jacques sont unis par le mariage ; de tout quoi avons dressé acte en présence des sieurs Antoine Joseph Jacque, ouvrier de fabrique, âgé de trente cinq ans, frère de la contractante, demeurant au dit Pouillou Fourneau, de Henri Joseph Michotte, tonnelier, âgé de soixante ans, de Henri Joseph Gaye, appariteur, âgé de trente six ans, et de Jean Lambert Depresseux, garde forestier, âgé de cinquante neuf ans, demeurants à Theux, lesquels après qu’il leur en a aussi été donné lecture l’ont signé avec nous, ainsi que le contractant, la contractante, leurs pères et mère ayant déclaré ne savoir écrire.
M 29/01/1821 Adolphe MANSE et Marie Jeanne TALBOT (n°07)
L’An mil huit cent vingt un, du mois de janvier le vingt neuvième jour, à dix heures du matin, par devant Nous, Guilleaume Joseph Delrée, maire adjoint délégué aux fonctions d’officier de l’état civil de la commune de Theux, sont comparus le sieur Adolphe Manse, fileur par mécaniques, âgé de dix huit ans, dix mois, né à Huckeswagen le treize mars an mil huit cent deux, comme il en conste par l’extrait de son acte de naissance délivré le vingt deux novembre dernier par Monsieur F. Michels curé du dit lieu, mineur fils du sieur Léonard Manse et d’Anne Sibille Schlinse, journaliers, ci présents et consentants, demeurant à Verviers.
Et Marie Jeanne Talbot, journalière, âgée de vingt un ans, deux mois, née dans cette commune, le seize Brumaire, de l’an huit correspondant au sept novembre an mil sept cent nonante neuf, majeure fille du sieur Jean Noël Talbot, menuisier et de Marie Jeanne Depresseux, ménagère, ci présents et consentants, demeurant à Marché, mairie de Theux.
Lesquels nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont les publications ont été faites devant la principale porte d’entrée de notre maison commune les dimanches sept et quatorze de ce mois aux deux heures de relevée et au dit Verviers les mêmes jours, comme il en conste par le certificat de publications délivré le vingt six de ce mois par Monsieur J.F.Cornet Bourgmestre, officier de l’état civil de la ville de Verviers. Aucune opposition au dit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à leur réquisition après avoir donné lecture en présence des parties et des témoins de toutes les pièces ci-dessus mentionnées et du chapitre six du titre du code civil intitulé du mariage et du certificat constatant que le contractant a satisfait à ses obligations relatives à la milice nationale lui délivré le vingt six de ce mois par Monsieur le gouverneur de cette province, avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veuillent se prendre pour mari et pour femme ; chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement, déclarons au nom de la loi que les dits Adolphe Manse et Marie Jeanne Talbot sont unis par le mariage ; de tout quoi avons dressé acte en présence des sieurs Antoine Poussart, receveur des contributions directes, âgé de cinquante quatre ans, demeurant à Theux, de Léonard Manse, tondeur, âgé de trente six ans, de Nicolas Manse, tondeur, âgé de trente trois ans, frères du contractant, demeurants à Verviers, et de Jean Nicolas Andrien, journalier, âgé de trente quatre ans, demeurant à Marché, lesquels après qu’il leur en a aussi été donné lecture ont signé avec nous, les dits Poussart et Léonard Manse deux des dits témoins ainsi que Jean Nicolas Andrien, les parties contractantes, leurs pères et mères et le dit Nicolas Manse ayant déclaré de ne savoir écrire ni signer leur nom.
M 20/02/1821 Toussaint BOUTET et Marie Anne SIQUET (n°9)
L’An mil huit cent vingt un, du mois de février le vingtième jour, à huit heures du matin, par devant Nous, Guilleaume Joseph Delrée, maire adjoint délégué aux fonctions d’officier de l’état civil de la commune de Theux, sont comparus les sieurs Toussaint Boutet, roulier, âgé de cinquante trois ans, huit mois, demeurant à Theux, né à Nessonvaux, commune d’Olne, le trente un may an mil sept cent soixante sept comme il en conste par l’extrait de son acte de naissance délivré le trente décembre dernier, par Monsieur, G.N.S. Detiffe, maire adjoint de la dite commune d’Olne, fils des défunts Jean Boutet, et Marie Joseph Cloos, décédés au dit Nessonvaux. Le premier le vingt neuf septembre an mil huit cent dix neuf, la seconde le dix huit février an mil huit cent six, comme il est constaté par les extraits d’actes de décès délivrés le quatre janvier dernier par Monsieur Nicolas J. Degotte, maire de la commune dit (sic) Nessonvaux.
Et Marie Anne Siquet, ménagère, âgée de quarante un ans, six mois, née dans la dite commune le deux juillet an mil sept cent septante neuf. demeurant à Theux, fille des défunts Antoine Joseph Siquet et Anne Françoise Jehin, décédés au dit Theux, le premier, le dix sept juin, an mil sept cent quatre vingt et cinq, la seconde le trente juillet an mil sept cent quatre vingt et treize.
Lesquels nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont les publications ont été faites devant la principale porte d’entrée de notre maison commune les dimanches vingt un et vingt huit janvier dernier à deux heures de relevée. Aucune opposition au dit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à leur réquisition, après avoir donné lecture en présence des parties et des témoins, de toutes les pièces ci-dessus mentionnées et du chapitre six du titre du code civil intitulé du mariage, avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veuillent se prendre pour mari et pour femme ; chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement, déclarons au nom de la loi que les dits Toussaint Boutet et Marie Anne Siquet sont unis par le mariage. Et aussitôt, les dits époux ont déclarés qu’il est né d’eux huit enfants, qui ont été inscrit dans les registres de l’état civil de cette commune, le premier le vingt deux prairéal an dix correspondant au douze juin mil huit cent et deux, sous les noms et prénoms de Boutet Jean Antoine, le second, le vingt cinq fructidor, an douze, correspondant au douze septembre mil huit cent quatre, sous les noms et prénoms de Boutet Lambert Joseph. Le troisième, Boutet Toussaint, le douze juin mil huit cent sept, le quatrième Siquet Anne Françoise, le six février mil huit cent dix, le cinquième Boutet Marie Agnès, le vingt six mai mil huit cent douze, le sixième Boutet Guillaume Joseph, (sic) le septième Boutet Jean Lambert le onze septembre mil huit cent et seize, et le huitième Boutet Adam François, le trente mars mil huit cent dix neuf, lesquels ils reconnaissent pour leurs fils et fille ; De tout quoi nous avons dressé acte en présence des sieurs Henri Joseph Lemarly, Roulier, âgé de quarante huit ans, de Thomas Joseph Lemarly, forgeron, âgé de quarante trois ans, de Henri Joseph Michotte, tonnelier, âgé de soixante ans, et de Henri Joseph Gaye, appariteur, âgé de trente six ans, demeurants à Theux, lesquels après qu’il leur en a aussi été donné lecture, et avoir déclaré que les contractants n’ont plus ni aïeuls ni aïeules tant paternels que maternels pour consentir à leur mariage, l’ont signé avec nous, ainsi que le contractant, la contractante, ayant déclaré de ne savoir écrire ni signer son nom.
M 05/03/1821 Pierre François LECLOUTIER et Marie Thérèse ORBAN (n°10)
L’An mil huit cent vingt un, du mois de mars le cinquième jour, à neuf heures du matin, par devant Nous, Guilleaume Joseph Delrée, maire adjoint délégué aux fonctions d’officier de l’état civil de la commune de Theux, sont comparus le sieur, Pierre François Lecloutier, meunier journalier, âgé de cinquante trois ans, demeurant à Juslenville, mairie de Theux, né dans cette commune le vingt deux février an mil sept cent soixante huit, veuf de Marie Anne Beaumont, décédée au dit Juslenville le onze janvier an mil huit cent vingt, fils des défunts Jean Lecloutier et Marie Jeanne Fassin, décédés au même lieu, le premier le vingt trois floréal an neuf correspondant au treize mai an mil huit cent un, la seconde le huit février an mil huit cent dix.
Et Marie Thérèse Orban, journalière, âgée de quarante trois ans, huit mois, demeurant à Marché, mairie de Theux, née à Lierneux, arrondissement de Verviers, Province de Liège, le douze juillet an mil sept cent septante sept, fille des défunts Nicolas Orban et de Marie Thérèse Remacle, décédés au dit Lierneux, le quatre mars an mil huit cent dix, la seconde le six avril an mil huit cent et treize, comme il est constaté par les extraits d’actes de naissances et de décès délivrés par Monsieur J.J. léonard, Vilenne, maire de la commune dudit Lierneux, le neuf février dernier, annexés au présent acte.
Lesquels nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont les publications ont été faites devant la principale porte d’entrée de notre maison commune les dimanches dix huit et vingt cinq février dernier aux deux heures de relevée. Aucune opposition au dit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à leur réquisition et après avoir donné lecture en présence des parties et des témoins, de toutes les pièces ci-dessus mentionnées et du chapitre six du titre du code civil intitulé du mariage et avoir reçu d’eux la déclaration sermentelle que les contractants n’ont plus ni aïeuls ni aïeules tant du côté paternel que maternels pour consentir à leur mariage, avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veuillent se prendre pour mari et pour femme ; chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement, déclarons au nom de la loi que les dits Pierre François Lecloutier et Marie Thérèse Orban sont unis par le mariage, de tout quoi avons dressé acte en présence des sieurs Jean François Boniver, platineur, âgé de quarante quatre ans, de Ferdinand Joseph Boniver, platineur, âgé de quarante ans, de Jean Lecloutier, platineur, âgé de quarante sept ans, frère du contractant, et de Henri Joseph Gaye, appariteur, âgé de trente six ans, demeurant à Theux, lesquels après qu’il leur en a été donné lecture l’ont signé avec nous, excepté les contractants et Jean Lecloutier l’un des dits témoins qui ont déclarés de ne savoir écrire ni signer leur nom.
M 14/05/1821 Gilles Joseph MATHONNET et Marie Joseph GOHY (n°13)
L’An mil huit cent vingt un, du mois de mai le quatorzième jour, à neuf heures du matin, par devant Nous, Guilleaume Joseph Delrée, maire adjoint délégué aux fonctions d’officier de l’état civil de la commune de Theux, sont comparus le sieur Gilles Joseph Mathonnet, cultivateur, âgé de vingt cinq ans, un mois, né dans cette commune le vingt quatre mars an mil sept cent nonante six, majeur, fils du sieur Gilles Joseph Mathonnet, cultivateur, et d’Anne Marie Parmentier, ménagère, ci présents et consentants, demeurant à Tancrémont, mairie de Theux.
Et la demoiselle Marie Joseph Gohy, cultivatrice, âgé de vingt ans, sept mois, née dans cette commune, le seize octobre an mil huit cent, mineure, fille du sieur Bertrand Gohy, cultivateur et de Cécile Noël Vincent, ménagère, ci présents et consentants, demeurant à ronde Haye, mairie de Theux.
Lesquels nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont les publications ont été faites devant la principale porte d’entrée de notre maison commune les dimanches vingt neuf avril coulé et six de ce mois aux deux heures de relevée. Aucune opposition au dit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à leur réquisition et après avoir donné lecture en présence des parties et des témoins, de toutes les pièces ci-dessus mentionnées et du certificat constatant que le contractant a satisfait à ses obligations relatives à la milice nationale ainsi que du chapitre six du titre du code civil intitulé du mariage, avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veuillent se prendre pour mari et pour femme ; chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement, déclarons au nom de la loi que les dits Gilles Joseph Mathonnet et Marie Joseph Gohy sont unis par le mariage ; de tout quoi nous avons dressé acte en présence des sieurs Jean Joseph Mathonnet, boulanger, âgé de quarante ans, oncle paternel du contractant, de Simon Joseph Michotte, boulanger, âgé de quarante huit ans, d’Adam François Servais, tonnelier, âgé de quarante cinq ans, et de Henri Joseph Gaye, appariteur, âgé de trente sept ans, demeurants à Theux, lesquels après qu’il leur en a aussi été donné lecture, l’ont signé avec nous ainsi que le contractant et le père du dit contractant ; la contractante, la mère du contractant et les père et mère de la contractante ayant déclaré de ne savoir écrire ni signer leurs noms pour ne jamais l’avoir appris.
M 18/06/1821 Jean Nicolas MICHOTTE et Marie Margueritte CARO (n°14)
L’An mil huit cent vingt un, du mois de juin le dix huitième jour, à huit heures du matin, par devant Nous, Guilleaume Joseph Delrée, maire adjoint délégué aux fonctions d’officier de l’état civil de la commune de Theux, canton, de Spa, arrondissement de Verviers, province de Liège, sont comparus le sieur Jean Nicolas Michotte, menuisier, âgé de vingt ans, cinq mois, né dans cette commune le onze janvier an mil huit cent et un, mineur, fils du sieur Henri Joseph Michotte cabaretier, et de la dame Marie Catherine Thérèse Lechanoine, ménagère, ci présents et consentants, demeurants à Theux.
Et la demoiselle Marie Margueritte Caro, sans profession, âgée de vingt trois ans, née dans cette commune, le vingt neuf juin an mil sept cent nonante huit, majeure, fille du sieur Martin François Caro, propriétaire, ci présent et consentant, demeurant à Theux et de Marie Margueritte Nivette, décédée le vingt deux juin an mil huit cent dix sept au dit Theux.
Lesquels nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont les publications ont été faites devant la principale porte d’entrée de notre maison commune les dimanches trois et dix de ce mois aux deux heures de relevée. Aucune opposition au dit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à leur réquisition et après avoir donné lecture en présence des parties et des témoins de toutes les pièces ci-dessus mentionnées et du chapitre six du titre du code civil intitulé du mariage et avoir eu l’assurance que le contractant a satisfait à ses obligations relativement à le milice nationale, avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veuillent se prendre pour mari et pour femme ; chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement, déclarons au nom de la loi que les dits Jean Nicolas Michotte et Marie Margueritte Caro, sont unis par le mariage ; de tout quoi avons dressé acte en présence des sieurs Henri Joseph Michotte, tanneur, âgé de vingt deux ans, frère du contractant, de Martin Hubert Caro, cultivateur, âgé de vingt cinq ans, frère de la contractante, de Gilles Joseph Lechanoine, maître maçon, âgé de trente un ans, cousin germain du contractant, demeurants à Theux, et de Hubert Joseph Nivette, Boulanger, âgé de quarante ans, oncle maternel de la contractante, demeurant à Juslenville, lesquels après qu’il leur en a été aussi donné lecture, l’ont signé avec nous et les parties contractantes et comparantes.
M 26/06/1821 Jean Nicolas GUSTIN et Marie Jeanne DYON (n°17)
L’An mil huit cent vingt un, du mois de juin le vingt sixième jour, à huit heures du matin, par devant Nous, Guilleaume Joseph Delrée, maire adjoint délégué aux fonctions d’officier de l’état civil de la commune de Theux, canton, de Spa, arrondissement de Verviers, province de Liège, sont comparus en notre maison commune et publiquement le sieur Jean Nicolas Gustin, journalier, âgé de vingt six ans, cinq mois, demeurant à marché, mairie de Theux, né dans ctte commune, le dix sept janvier an mil sept cent nonante cinq, majeur fils de Laurent Joseph Gustin, décédé à Sart, le vingt un octobre an mil sept cent nonante six, et dont l’acte de décès n’a pas été inscrit dans les registres de l’état civil ainsi qu’il en conste du certificat délivré le vingt cinq de ce mois par Monsieur Beaupain maire adjoint, officier de l’état civil de la commune de Sart, et de Marie Margueritte Brotel fileuse, décédée au dit Marché, le trois juillet an mil huit cent neuf, comme il est constaté par les registres de l’état civil de cette commune, lequel a justifié d’avoir satisfait à ses obligations sur la milice conformément au vœu de la loi du huit janvier mil huit cent dix sept.
Et Marie Jeanne Dyon, fileuse, âgée de vingt trois ans, quatre mois, demeurant au même lieu de Marché, née dans cette commune, le quinze février an mil sept cent nonante huit ; majeure, fille naturelle de Margueritte Dyon, décédée au dit Marché, le quinze février an mil huit cent huit, comme il est constaté par les registres de l’état civil de cette commune.
Lesquels nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont les publications ont été faites devant la principale porte d’entrée de notre maison commune les dimanches dix et dix sept de ce mois aux deux heures de relevée. Aucune opposition au dit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à leur réquisition et après avoir donné lecture en présence des parties et des témoins de toutes les pièces ci-dessus mentionnées et du chapitre six du titre du code civil intitulé du mariage, avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veuillent se prendre pour mari et pour femme ; chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement, déclarons au nom de la loi que les dits Jean Nicolas Gustin et Marie Jeanne Dyon, sont unis par le mariage, et aussitôt les dits époux, nous ont déclaré qu’il est né d’eux un enfant inscrit sur les registres de l’état civil de cette commune, l’an mil huit cent dix neuf, le quatre octobre sous les prénoms et nom de Jean Nicolas, lequel ils reconnaissent pour leur fils, de tout quoi avons dressé acte en présence des sieurs Toussaint Joseph Grayet journalier, âgé de cinquante cinq ans, de Noël Grayet journalier, âgé de cinquante trois ans, demeurants au dit marché, de Remacle Gustin, roulier, âgé de cinquante six ans, oncle paternel du contractant, et de Henri Joseph Gaye, appariteur, âgé de trente sept ans, demeurants à Theux, et après avoir reçu lecture ont signé avec nous les dits Toussaint Joseph Grayet et Henri Joseph Gaye, deux des témoins, les contractants et les deux autres témoins ont déclaré de ne savoir le faire.
M 16/07/1821 Nicolas Antoine PIRARD et Anne Marie THOMSON (n°18)
L’An mil huit cent vingt un, du mois de juillet le seizième jour, à neuf heures du matin, par devant Nous, Guilleaume Joseph Delrée, maire adjoint délégué aux fonctions d’officier de l’état civil de la commune de Theux, canton, de Spa, arrondissement de Verviers, province de Liège, sont comparus en notre maison commune et publiquement le sieur Nicolas Antoine Pirard, journalier, âgé de quarante sept ans, cinq mois, demeurant à Theux, né dans cette commune, le vingt cinq janvier an mil sept cent septante quatre, veuf de Marie Gilles, décédées au dit Theux le six janvier dernier, fils des défunts Antoine Pirard et Marie Lamberty.
Et Anne Marie Thomson, journalière, âgée de trente cinq ans, six mois, demeurant à Theux, née au même lieu le premier janvier an mil sept cent quatre vingt six, fille des défunts, Thomas Thomson et Charlotte Closset ( ?) décédés au dit Theux le premier le vingt cinq juillet an mil huit cent treize, la seconde le huit mai an mil huit cent quatorze.
Lesquels nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont les publications ont été faites devant la principale porte d’entrée de notre maison commune les dimanches premier et huit de ce mois aux deux heures de relevée. Aucune opposition au dit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à leur réquisition et après avoir donné lecture en présence des parties et des témoins de toutes les pièces ci-dessus mentionnées et du chapitre six du titre du code civil intitulé du mariage et après avoir reçu la déclaration sermentelle des contractants qu’ils n’ont plus ni aïeuls ni aïeules tant paternels que maternels pour consentir à leur mariage, avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veuillent se prendre pour mari et pour femme ; chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement, déclarons au nom de la loi que les dits Nicolas Antoine Pirard et Anne Marie Thomson sont unis par le mariage. De tout quoi avons dressé acte en présence des sieurs Henri Joseph Gillet, barbier, âgé de trente huit ans, de Jean François Delforge, journalier, âgé de vingt deux ans, de Henri Joseph Gaye, appariteur, âgé de trente sept ans, demeurants à Theux, et de Jean François Nicolas Delforge, journalier, âgé de quarante cinq ans, demeurant à Spixhe, mairie de Theux. Et après avoir reçu lecture, ont signés avec nous, Henri Joseph Gillet, Henri Joseph Gaye, et Jean François Nicolas Delforge trois des témoins, Nicolas Antoine Pirard, Anne Marie Thomson et jean François Delforge, l’un des témoins, ont déclaré ne savoir le faire.
M 23/07/1821 Jean Joseph JEHIN et Marie Anne DELFORGE (n°19)
L’An mil huit cent vingt un, du mois de juillet le vingt troisième jour, à neuf heures du matin, par devant Nous, Guilleaume Joseph Delrée, maire adjoint délégué aux fonctions d’officier de l’état civil de la commune de Theux, canton, de Spa, arrondissement de Verviers, province de Liège, sont comparus en notre maison commune et publiquement le sieur Jean Joseph Jehin, maçon, âgé de trente cinq ans, huit mois, demeurant à Theux, né dans cette commune, le vingt cinq novembre an mil sept cent quatre vingt cinq, majeur, fils des défunts, Laurent Joseph Jehin et Marie Catherine Wilkin, décédés au dit Theux le premier le dix huit août an mil huit cent quatorze, la seconde le trois janvier dernier, come il est constaté par les registres ux actes de l’état civil de cette commune, lequel a justifié d’avoir satisfait à ses obligations sur la milice nationale conformément au vœu de la loi du huit janvier mil huit cent dix sept.
Et Mademoiselle Marie Anne Delforge, négociante, âgée de vingt sept ans, dix mois, demeurant à Theux, née à Spixhe, mairie du dit Theux, le dix septembre an mil sept cent quatre vingt et treize, majeure fille des défunts Philippe Joseph Delforge et Marie Thérèse D’heur, décédés au dit Spixhe, le premier le huit février an mil huit cent et onze, la seconde le vingt mai an mil huit cent treize, comme il est constaté par les registres aux actes de l’état civil de cette commune.
Lesquels nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont les publications ont été faites devant la principale porte d’entrée de notre maison commune les dimanches huit et quinze de ce mois aux deux heures de relevée. Aucune opposition au dit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à leur réquisition et après avoir donné lecture en présence des parties et des témoins de toutes les pièces ci-dessus mentionnées et du chapitre six du titre du code civil intitulé du mariage et après avoir reçu des contractants la déclaration sermentelle qu’ils n’ont plus ni aïeuls ni aïeules tant paternels que maternels pour consentir à leur mariage, avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veuillent se prendre pour mari et pour femme ; chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement, déclarons au nom de la loi que les dits Jean Joseph Jehin et Marie Anne Delforge sont unis par le mariage. De tout quoi nous avons dressé acte en présence des sieurs Guilleaume Joseph Jehin, maître maçon, âgé de quarante sept ans, frère du contractant, de Jean Philippe Delforge, ouvrier de fabrique, âgé de vingt cinq ans, frère de la contractante, de Jean François Monjardin, maître tailleur d’habits, âgé de vingt huit ans, et de Joseph Duvivier, tailleur de pierres âgé de trente un ans, demeurants à Theux, et après avoir reçu lecture faite, ont les contractants et les quatre témoins signé avec nous le présent acte, les quatre mots interlignés sont approuvés.
M 08/09/1821 Antoine Joseph PINCHARD et Marie Joseph DEHERVE (n°23)
L’An mil huit cent vingt un, du mois de septembre le huitième jour, à huit heures du matin, par devant Nous, Guilleaume Joseph Delrée, maire adjoint délégué aux fonctions d’officier de l’état civil de la commune de Theux, canton, de Spa, arrondissement de Verviers, province de Liège, sont comparus en notre maison commune et publiquement le sieur Antoine Joseph Pinchard, jardinier de profession, âgé de trente ans, un mois, ayant son domicile de droit à Branchon, Province de Namur, et de fait à Juslenville, mairie de Theux, né au dit Branchon le quinze du mois de juillet, an mil sept cent nonante un, majeur, fils de Charles Ferdinand Joseph Pinchard, décédé au même lieu le trente du mois d’octobre an mil sept cent nonante quatre, comme il en conste par les extraits d’actes de naissances et décès délivré le quatre juillet dernier par Monsieur Baré, greffier du tribunal de première instance séant à Namur, légalisé par monsieur Grenier président de ce tribunal et d’Anne Joseph Jadoule, cabaretière demeurant au dit Branchon, qui a donné son consentement au présent mariage, par acte par brevet avenu devant Maître Louis Joseph Dethy, notaire royal à la résidence de Tavier, canton d’Huy, premier arrondissement de la province du dit Namur, le vingt août dernier, enregistré à Waret la chaussée le lendemain, au cout de cinquante neuf cents /. Signé Jadot.
Lequel a justifié avoir satisfait à ses obligations sur la milice nationale conformément au vœu de la loi du huit janvier mil huit cent dix sept par la représentation qu’il nous a faite d’un certificat Litt. L.L. lui délivré le quatre juillet dernier par Monsieur le gouverneur de la province de Namur.
Et, la demoiselle Marie Joseph Deherve, couturière âgée de vingt six ans, quatre mois, née dans cette commune le vingt sept avril an mil sept cent nonante cinq, majeure, fille du sieur Henri Joseph Deherve, ouvrier fouleur, ci présent et consentant, demeurants au dit Juslenville et de Marie Joseph Boniver décédée au même lieu le quinze janvier an mil huit cent quatorze.
Lesquels nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont les publications ont été faites devant la principale porte d’entrée de notre maison commune les dimanches huit et quinze juillet dernier aux deux heures de relevée, et au dit Branchon les dimanches quinze et vingt deux du même mois comme il est constaté par le certificat de publication des promesses de mariage délivré le vingt six du dit mois de juillet par Monsieur Jean Baptiste Fronville, échevin, officier de l’état civil de la commune dudit Branchon. . Aucune opposition au dit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à leur réquisition et après avoir donné lecture en présence des parties et des témoins de toutes les pièces ci-dessus mentionnées et du chapitre six du titre du code civil intitulé du mariage, avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veuillent se prendre pour mari et pour femme ; chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement, déclarons au nom de la loi que les dits Antoine Joseph Pinchard et Marie Joseph Deherve sont unis par le mariage. ; de tout quoi avons dressé acte en présence des sieurs Hubert Joseph Nivette, boulanger, âgé de quarante ans et de Jean Michel Tisselenne, cultivateur, âgé de trente huit ans, demeurant au dit Juslenville, de Jacque Paes, serrurier, âgé de trente un ans et de Mathieu Joseph Boniver, menuisier, âgé de vingt quatre ans, demeurants à Theux et après lecture faite du présent acte, ont signé Antoine Joseph Pinchard, Jacques Paes, Hubert Joseph Nivette, et Mathieu Joseph Boniver, avec nous, Marie Joseph Deherve, Henri Joseph Deherve et Jean Michel Tisselenne ayant déclaré ne savoir le faire.
M 19/11/1821 Nicolas Joseph TALBOT et Marie Elisabeth JACOB (n°27)
L’An mil huit cent vingt un, du mois de novembre le dix neuvième jour, à neuf heures du matin, par devant Nous, Guilleaume Joseph Delrée, maire adjoint délégué aux fonctions d’officier de l’état civil de la commune de Theux, canton, de Spa, arrondissement de Verviers, province de Liège, sont comparus en notre maison commune et publiquement le sieur Nicolas Joseph Talbot, tondeur de draps, âgé de trente trois ans, quatre mois, né dans cette commune le vingt cinq juillet an mil sept cent quatre vingt huit, majeur, fils de Thomas Talbot, décédé le quatrième jour complémentaire de l’an dix, correspondant au vingt septembre mil sept cent nonante huit et d’Anne Marie Remacle, ménagère ci présente et consentante, demeurant à Juslenville, mairie de Theux, lequel a justifié d’avoir satisfait à ses obligations sur la milice conformément au vœu de la loi du huit janvier mil huit cent dix sept.
Et Marie Elisabeth Jacob, journalière, âgée de vingt neuf ans, un mois, née à Theux, le six octobre an mil sept cent nonante deux, fille du sieur Servais Jacob poèlier et d’Anne Marie Gustin, ménagère, ci présents et consentants demeurants à Theux.
Lesquels nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont les publications ont été faites devant la principale porte d’entrée de notre maison commune les dimanches quatre et onze de ce mois aux deux heures de relevée. Aucune opposition au dit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à leur réquisition et après avoir donné lecture en présence des parties et des témoins, de toutes les pièces ci-dessus mentionnées et du chapitre six du titre du code civil intitulé du mariage, avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veuillent se prendre pour mari et pour femme ; chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement, déclarons au nom de la loi que les dits Nicolas Joseph Talbot et Marie Elisabeth Jacob sont unis par le mariage ; de tout quoi nous avons dressé acte en présence des sieurs Jean Talbot, journalier, âgé de cinquante cinq ans, et de Thomas Joseph Talbot, journalier, âgé de cinquante un ans, frères utérins du contractant, de Jean Jacques Ranslot, tondeur, âgé de vingt deux ans, neveu du contractant, demeurant au dit Juslenville, et de Servais Joseph Defraity, cordonnier âgé de trente sept ans, demeurant à Verviers, cousin germain de la contractante et après avoir reçu lecture ont signés avec nous, Servais Jacob, Jean Talbot, Thomas Talbot et Servais Joseph Defraity : Anne Marie Remacle, Anne Marie Gustin, Nicolas Joseph Talbot, Marie Elisabeth Jacob, et Jean Jacques Ranslot, ont déclaré de ne savoir le faire.
M 26/11/1821 Etienne Joseph HOUBEAU et Lambertine MATTAR (n°30)
L’An mil huit cent vingt un, du mois de novembre le vingt sixième jour, à onze heures du matin, par devant Nous, Guilleaume Joseph Delrée, maire adjoint délégué aux fonctions d’officier de l’état civil de la commune de Theux, canton, de Spa, arrondissement de Verviers, province de Liège, sont comparus en notre maison commune et publiquement le sieur Etienne Joseph Houbeau, cultivateur, âgé de trente un ans, un mois, né à Theux, le seize octobre mil sept cent quatre vingt dix, majeur, fils d’Etienne Joseph Houbeau, décédé au dit Theux, le vingt deux octobre an mil huit cent dix neuf, comme il est constaté par les registres aux actes de l’état civil de cette commune, et de Margueritte Jehin, boulangère, ci présente et consentante, demeurants à Theux, lequel a justifié d’avoir satisfait à ses obligations sur la milice conformément au vœu de la loi du huit janvier mil huit cent dix sept.
Et Mademoiselle Lambertine Mattar, couturière, âgée de trente un ans, neuf mois, née à Theux, le vingt cinq janvier an mil sept cent quatre vingt et onze, majeure, fille du sieur Jean Martin Mattar, tailleur de pierres ci présent et consentant, demeurants à Theux, et de Marie Elisabeth Depresseux, décédée au même lieu le huit may an mil huit cent dix sept, comme il est constaté par les registres aux actes de l’état civil de cette commune.
Lesquels nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont les publications ont été faites devant la principale porte d’entrée de notre maison commune les dimanches onze et dix huit de ce mois aux deux heures de relevée. Aucune opposition au dit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à leur réquisition et après avoir donné lecture en présence des parties et des témoins de toutes les pièces ci-dessus mentionnées et du chapitre six du titre du code civil intitulé du mariage, avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veuillent se prendre pour mari et pour femme ; chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement, déclarons au nom de la loi que les dits Etienne Joseph Houbeau, et Lambertine Mattar sont unis par le mariage, de tout quoi avons dressé acte en présence des sieurs Jean Lambert Houbeau, boulanger, âgé de vingt huit ans, et de Jean Baptiste Houbeau, cultivateur, âgé de vingt quatre ans, frères du contractant, de François Demazure, cordonnier, âgé de quarante trois ans, beau frère de la contractante, demeurants à Theux, et d’Emmanuel Wilmet, tailleur de pierres, âgé de cinquante ans, beau frère de la contractante, demeurant à Ensival, et après en avoir reçu lecture ont signé avec nous les parties contractantes, leurs père et mère, ainsi que trois des dits témoins Emmanuel Wilmet a déclaré ne savoir le faire.
M 23/01/1822 Adam Joseph SAROLAY et Marie Joseph GUSTIN (n°01)
L’An mil huit cent vingt deux, du mois de janvier le vingt troisième jour, à six heures du matin, par devant Nous, Guilleaume Joseph Delrée, maire adjoint délégué aux fonctions d’officier de l’état civil de la commune de Theux, canton, de Spa, district de Verviers, province de Liège, sont comparus en notre maison commune et publiquement le sieur Adam Joseph Sarolai, serrurier, âgé de trente sept ans, quatre mois, demeurant à Forge Thiry, mairie de Theux, né dans la commune de Cheratte, arrondissement et province de Liège, le vingt huit septembre an mil sept cent quatre vingt et trois, comme il est constaté par l’extrait de son acte de naissance délivré le quatre novembre dernier par Monsieur W. Lehane, maire de la dite commune de Cheratte, Majeur, fils des défunts Joseph Sarolai et d’Elisabeth Maréchal, décédés dans la commune de Saint Remy, le premier le quatre août an mil sept cent nonante cinq, la seconde le dix sept juillet de la même année, comme il en conste de leurs actes de décès délivré le quatre novembre dernier par Monsieur L : Magnée, maire du dit Saint Remi.
Lequel a justifié d’avoir satisfait à ses obligations sous le rapport de la milice nationale conformément à la loi du huit janvier mil huit cent dix sept.
Et Marie Joseph Gustin, journalière, âgée de trente six ans, dix mois, née dans cette commune, le huit mars an Mil sept cent quatre vingt et neuf, majeure, fille naturelle de Marie Joseph Gustin, fileuse, demeurant à Pouillou Fourneau, mairie de Theux, laquelle a donné son consentement au présent mariage par acte en brevet avenu devant maître Guillaume Joseph Delrée, notaire, royal à la résidence de Theux, le vingt un de ce mois, enregistrés à Spa le même jour.
Lesquels nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont les publications ont été faites devant la principale porte d’entrée de notre maison commune les dimanches six et treize du courant aux deux heures de relevée. Aucune opposition au dit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à leur réquisition, après avoir donné lecture en présence des parties et des témoins de toutes les pièces ci-dessus mentionnées et du chapitre six du titre du code civil intitulé du mariage et avoir reçu du contractant la déclaration sermentelle qu’il n’a plus ni aïeuls ni aïeules tant paternels que maternels pour consentir à son mariage, avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veuillent se prendre pour mari et pour femme ; chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement, déclarons au nom de la loi que les dits Adam joseph Sarolai et Marie Joseph Gustin sont unis par le mariage. De tout quoi nous avons dressé acte en présence des sieurs Jacques Paes, serrurier, âgé de trente un ans, de Henri Joseph Gaye, appariteur, âgé de trente sept ans, demeurants à Theux, de Jean Jacques Jason, forgeron, âgé de quarante trois ans, demeurant à Juslenville, et de Jacques Bastin, ouvrier de fabrique âgé de vingt trois ans, demeurant à Forge Thiry, ont signé avec nous, Jacques Paes, Henri Joseph Gaye, Jean Jacques Jason et Jacques Bastin, Adam Joseph Sarolai et Marie Joseph Gustin ont déclaré ne savoir le faire.
M 15/04/1822 Louis Nicolas PIRNAY et Anne Isabelle JASON (n°05)
L’An mil huit cent vingt deux, du mois d’avril le quinzième jour, à dix heures du matin, par devant Nous, Guilleaume Joseph Delrée, maire adjoint délégué aux fonctions d’officier de l’état civil de la commune de Theux, canton, de Spa, district de Verviers, province de Liège, sont comparus en notre maison commune et publiquement le sieur Louis Nicolas Pirnay, cordonnier, âgé de vingt sept ans, dix mois, demeurant à Juslenville petite, mairie de Theux, né dans cette commune, le vingt trois juin an mil sept cent nonante quatre, majeur fils du sieur Jean Nicolas Pirnay, cultivateur et de Marie Margueritte Pascal Bottin, ménagère, ci présent et consentant, demeurant à Theux, lequel a justifié d’avoir satisfait à ses obligations sous le rapport de la milice nationale. Et la demoiselle Anne Isabelle Jason, ouvrière de fabrique, âgée de vingt neuf ans, onze mois, née dans cette commune, le trente avril an mil sept cent quatre vingt et douze, majeure fille de Toussaint Jason décédé au dit lieu de Juslenville petite le dix huit novembre dernier comme il est constaté par le registre aux actes de naissances et décès de cette commune et d’Anne Marie Cléban, ménagère, ci présente et consentante demeurant au même lieu.
Lesquels nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont les publications ont été faites devant la principale porte d’entrée de notre maison commune les dimanches dix et dix sept février dernier aux deux heures de relevée. Aucune opposition au dit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à leur réquisition, après avoir donné lecture en présence des parties et des témoins de toutes les pièces ci-dessus mentionnées et du chapitre six du titre du code civil intitulé du mariage, avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veuillent se prendre pour mari et pour femme ; chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement, déclarons au nom de la loi que les dits Louis Nicolas Pirnay et Anne Isabelle Jason sont unis par le mariage. De tout quoi nous avons dressé acte en présence des sieurs Martin Pensée Pirnay, tailleur d’habits âgé de vingt deux ans, frère du contractant, demeurant à Verviers, de Thomas Joseph Jason, laineur, âgé de vingt trois ans, frère de la contractante, de Jean Jacques Lardinois, journalier, âgé de cinquante cinq ans, demeurant au dit lieu de Juslenville petite, et d’Adam François Jason, forgeron, âgé de quarante six ans, cousin germain de la contractante, demeurant à Juslenville. Lesquels ont signé avec nous, ainsi que les parties contractantes, et le père du contractant, les mères des contractants ont déclaré ne savoir le faire.
M 24/07/1822 Barthelemi QUARE et Marie Catherine CLEBAN (n°08)
L’An mil huit cent vingt deux, du mois de juillet le vingt quatrième jour, à huit heures du matin, par devant Nous, Guilleaume Joseph Delrée, maire adjoint délégué aux fonctions d’officier de l’état civil de la commune de Theux, canton, de Spa, district de Verviers, province de Liège, sont comparus en notre maison commune et publiquement le sieur Barthelemi Quaré, aubergiste, âgé de quarante deux ans, sept mois, né dans cette commune, le trois décembre an mil sept cent septante neuf, demeurant à Theux, veuf de Marie Anne Joseph Jehin, décédée à Mont, mairie dudit Theux, le vingt cinq janvier an mil huit cent et treize, fils des défunts Henri Quaré et Jeanne Lejeune, décédés au dit Mont le premier le onze février an mil sept cent quatre vingt et onze, la seconde, le vingt neuf septembre an mil sept cent quatre vingt et quatorze, comme il est constaté par les registres aux actes de naissances et de décès reposants aux archives de l’état civil de cette mairie.
Et la demoiselle Marie Catherine Cléban, ménagère, âgée de trente quatre ans, cinq mois, demeurant au dit Theux, née à Poleur le sept février an mil sept cent quatre vingt huit, comme il est constaté par l’extrait de son acte de naissance délivré le douze courant par Monsieur J.M. Deblon, maire adjoint de la commune du dit Poleur, fille des défunts Hubert Cléban et Marie Catherine Deru, décédés le premier à Ronde haye, mairie de Theux, le trente un juillet mil huit cent dix sept, comme il en conste par le registre aux actes de décès de cette commune pour la même année, la seconde, au dit Poleur, le vingt huit janvier an mil sept cent quatre vingt quatorze, comme il est également constaté par l’extrait de son acte de décès délivré le douze de ce mois, par le dit Monsieur J.M. Deblon, maire adjoint. Nous avons reçu la déclaration sermentelle des futurs et des quatre témoins ci après nommés qu’il est à leur parfaite connaissance que leurs aïeuls et aïeules sont décédés.
Lesquels nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont les publications ont été faites devant la principale porte d’entrée de notre maison commune les dimanches quatorze et vingt un de ce mois aux deux heures de relevée. Aucune opposition au dit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à leur réquisition, après avoir donné lecture en présence des parties et des témoins de toutes les pièces ci-dessus mentionnées et du chapitre six du titre du code civil intitulé du mariage, avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veuillent se prendre pour mari et pour femme ; chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement, déclarons au nom de la loi que les dits Barthelemi Quaré et Marie Catherine Cléban sont unis par le mariage. De tout quoi avons dressé acte en présence des sieurs Hubert Joseph Servais, propriétaire, âgé de cinquante deux ans, d’Adam François Servais, tonnelier, âgé de quarante sept ans, demeurant à Theux, de Jean Jacques Simus, propriétaire, âgé de cinquante quatre ans, beau frère du contractant, et de Gaspar Joseph Corne, cultivateur, âgé de vingt un ans, neveu maternel du contractant, demeurant à Mont, mairie de Theux, lesquels après en avoir reçu lecture l’ont signé avec nous et le contractant, la contractante a déclaré ne savoir le faire.
M 14/10/1822 Jean Mathieu BRULLE et Anne Joseph JACOB (n°10)
L’An mil huit cent vingt deux, du mois d’octobre le quatorzième jour, à onze heures du matin, par devant Nous, Guilleaume Joseph Delrée, maire adjoint délégué aux fonctions d’officier de l’état civil de la commune de Theux, canton, de Spa, district de Verviers, province de Liège, sont comparus en notre maison commune et publiquement le sieur Jean Mathieu Brulle, tondeur, âgé de vingt un ans un mois, né dans cette commune, le cinq fructidor de l’an neuf, /i correspondant au vingt deux août an mil huit cent et un comme il est constaté par le registre aux actes de naissances de la même année, Majeur fils légitime de Nicolas Brulle, Journalier et de Margueritte Etienne Journalière, ici présents et consentants, demeurant à Juslenville petite, mairie de Theux.
Et Anne Joseph Jacob, Journalière, âgée de vingt huit ans, trois mois, née à Theux le vingt un du mois de juin an mil sept cent nonante quatre, majeure, fille légitime de Servais Joseph Jacob, décédé au dit Theux, le dix mars dernier, comme il est constaté par le registre aux actes de l’état civil de cette commune et d’Anne Marie Gustin, ménagère, ici présente et consentante, demeurant au dit Theux.
Lesquels nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont les publications ont été faites devant la principale porte d’entrée de notre maison commune les dimanches vingt neuf septembre coulé et six de ce mois aux deux heures de relevée. Aucune opposition au dit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à leur réquisition et après avoir donné lecture de toutes les pièces ci-dessus mentionnées et du chapitre six du titre du code civil intitulé du mariage, nous avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veulent se prendre pour mari et pour femme ; chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement, déclarons au nom de la loi que les dits Jean Mathieu Brulle et Anne Joseph Jacob sont unis par le mariage, de tout quoi nous avons dressé acte en présence des sieurs Jean Nicolas Brulle, Laineur, âgé de trente ans, de Jean Jacques Brulle, laineur, âgé de vingt cinq ans, frères du contractant, de Louis Nicolas Pirnay, cordonnier, âgé de vingt sept ans, demeurant au dit lieu de Juslenville petite, et de Jean François Boniver, journalier, âgé de trente cinq ans, demeurant à Theux, qui après avoir reçu lecture l’ont signé avec nous ainsi que la contractante, les père et mère du contractant, et la mère de la contractante ont déclaré ne savoir le faire
M 16/10/1822 Henri Joseph JASON et Marie Isabelle GAVRAY (n°11)
L’An mil huit cent vingt deux, du mois d’octobre le seizième jour, à sept heures du matin, par devant Nous, Guilleaume Joseph Delrée, maire adjoint délégué aux fonctions d’officier de l’état civil de la commune de Theux, canton, de Spa, district de Verviers, province de Liège, sont comparus en notre maison commune et publiquement le sieur Henri Joseph Jason, forgeron, âgé de quarante deux ans, demeurant à Juslenville, mairie de Theux, né au même lieu, le vingt deux septembre an mil sept cent quatre vingt, majeur, fils du sieur Adam François Jason et de Marie Elisabeth Gohy, décédés au dit lieu, le premier le huit May an mil huit cent dix huit, la seconde, le trois may an mil huit cent vingt un, comme il est constaté par le registre aux actes de l’état civil de cette commune. Ses ayeux (sic) et aïeules étant décédés en conséquence nous avons reçu la déclaration sermentelle du futur et des quatre témoins ci après dénommés qu’il est à leur parfaite connaissance qu’ils sont décédés le futur a aussi justifié d’avoir satisfait à ses obligations sur la milice nationale conformément au vœu de la loi du huit janvier mil huit cent dix sept.
Et la demoiselle Marie Isabelle Gavray, couturière, âgée de trente ans, cinq mois, demeurant à Theux, née au même lieu, le vingt un may an mil sept cent nonante deux, comme il est constaté par le registre aux actes de naissance de cette commune, majeure fille du sieur Jean Pierre Gavray, Maréchal Ferrant, et d’Anne Isabelle Delcour, ménagère demeurant au dit Theux, lesquels ont donné leur consentement au présent mariage par Brévet avenu devant Maître Guilleaume Joseph Delrée, notaire royal à la résidence de Theux, le trois de ce mois, enregistré à Spa le sept du même mois.
Lesquels nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont les publications ont été faites devant la principale porte d’entrée de notre maison commune les dimanches six et treize de ce mois aux deux heures de relevée. Aucune opposition au dit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à leur réquisition et après avoir donné lecture de toutes les pièces ci-dessus mentionnées et du chapitre six du titre du code civil intitulé du mariage, avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veuillent se prendre pour mari et pour femme ; chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement, déclarons au nom de la loi que les dits Henri Joseph Jason et Marie Isabelle Gavray sont unis par le mariage. De tout quoi nous avons dressé acte en présence des sieurs Jean Nicolas Grégoire, roulier, âgé de quarante cinq ans, d’Antoine Joseph Jehin, cultivateur, âgé de quarante deux ans, beau frères du contractant demeurants au dit Juslenville, De Toussaint Joseph Detaille, cultivateur, âgé de trente cinq ans, cousin germain de la contractante, demeurant à Oneux, et de Jacques Paes, serrurier, âgé de trente un ans, demeurant à Theux, et après avoir reçu lecture du présent acte, ont les contractants, toussaint Joseph Detaille et Jacques Paes signé avec nous ; Jean Nicolas Grégoire et Antoine Joseph Jehin ont déclaré ne savoir le faire.
M 16/07/1823 Thomas Joseph PAROTTE et Jeanne Catherine FRANQUINET (n°12)
L’An mil huit cent vingt trois, du mois de juillet le seizième jour, à neuf heures du matin, par devant Nous, Constantin Albert de Marteau, échevin délégué aux fonctions d’officier de l’état civil de la commune de Theux, canton, de Spa, district de Verviers, province de Liège, sont comparus en notre maison commune et publiquement le sieur, Thomas Joseph Parotte, cultivateur, âgé de vingt cinq ans, quatre mois, né à Oneux, village dépendant de cette commune, le douze ventose de l’an six / :ère républicain:/ correspondant aux deux mars mil sept cent nonante huit, majeur, fils du Sieur Thomas Joseph Parotte, décédé au dit Oneux le vingt cinq février mil huit cent dix huit, comme il est constaté par les registres aux actes de l’état civil de cette mairie, et de Margueritte Joseph Corne, ménagère, ci présente et consentante, demeurant au dit Oneux, Lequel a justifié d’avoir satisfait à ses obligations sous le rapport de la milice nationale conformément au vœu de la loi du huit janvier mil huit cent dix sept.
Et la demoiselle Jeanne Catherine Franquinet, cultivatrice, âgée de vingt sept ans, née au dit Oneux le vingt cinq juillet, an mil sept cent nonante six, comme il en conste, par un registre aux actes de naissances, de l’église paroissiale de Theux, majeure, fille du sieur Noé Hubert Franquinet, cultivateur et de Marie Hélène Franquinet, ménagère, ci présents et consentants demeurant au dit Oneux.
Lesquels nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont les publications ont été faites devant la principale porte d’entrée de notre maison commune les dimanches huit et quinze juin dernier aux deux heures de relevée. Aucune opposition au dit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à leur réquisition et après avoir donné lecture de toutes les pièces ci-dessus mentionnées et du chapitre six du titre du code civil intitulé du mariage, avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veuillent se prendre pour mari et pour femme ; chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement, déclarons au nom de la loi que les dits Thomas Joseph Parotte et Jeanne Catherine Franquinet sont unis par le mariage, et aussitôt les dits époux ont déclaré qu’ile est né d’eux un enfant du sexe masculin, inscrits sur les registres de l’état civil de cette commune, sous la date du six juin dernier, sous les noms et prénoms de Thomas Joseph Parotte, lequel ils reconnaissent pour leur fils, de tout quoi nous avons dressé acte en présence des Sieurs Gaspar Joseph Parotte, cultivateur, âgé de trente ans, frère du contractant, de Jean Joseph Colette, cultivateur, âgé de quarante deux ans, beau frère de la contractante demeurant au dit Oneux, de Henri Joseph, Gaye, appariteur, âgé de trente neuf ans, et de Henri Joseph Gillet, barbier, âgé de quarante ans, demeurants à Theux, et après avoir reçu lecture du présent acte, ont la contractante, la mère du contractant la mère de la contractante et les quatre témoins signés avec nous, le contractant et le père de la contractante ont déclaré ne savoir le faire.
M 06/08/1823 Barthelemi Pascal PIRNAY et Jeanne Joseph DESSAUCY (n°13)
L’An mil huit cent vingt trois, du mois d’août le sixième jour, à neuf heures du matin, par devant Nous, Constantin Albert de Marteau, échevin délégué aux fonctions d’officier de l’état civil de la commune de Theux, canton, de Spa, district de Verviers, province de Liège, sont comparus en notre maison commune et publiquement le sieur Barthelemi Pascal Pirnay, boulanger, âgé de vingt neuf ans, un mois, né à Theux le vingt trois juin an mil sept cent nonante quatre, comme il est constaté par un registre de l’état civil de cette commune, majeur, fils du sieur Jean Nicolas Pirnay, propriétaire, et de Marie Margueritte Päscal Bottin, ménagère, ci présents et consentants, demeurants à Theux.
Lequel a justifié d’avoir satisfait à ses obligations sous le rapport de la milice nationale conformément au vœu de la loi du huit janvier mil huit cent dix sept.
Et Jeanne Joseph Dessaucy, cultivatrice, âgée de vingt trois ans, trois mois, née au dit Theux, le vingt sept ventôse / : ère républicain:/ correspondant au vingt sept mars mil huit cent, mineure, fille du sieur Jérôme Joseph Dessaucy, cultivateur, ci présent et consentant, demeurant à Sassor, mairie de Theux, et de Jeanne Elisabeth Boniver, décédée au dit Theux le seize novembre mil huit cent neuf, comme il est également constaté par les registres de l’état civil de cette commune.
Lesquels nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont les publications ont été faites devant la principale porte d’entrée de notre maison commune les dimanches vingt sept juillet dernier et trois du courant aux deux heures de relevée. Aucune opposition au dit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à leur réquisition et après avoir donné lecture de toutes les pièces ci-dessus mentionnées et du chapitre six du titre du code civil intitulé du mariage, avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veuillent se prendre pour mari et pour femme ; chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement, déclarons au nom de la loi que les dits Barthelemi Pascal Pirnay et Jeanne Joseph Dessaucy sont unis par le mariage. De tout quoi nous avons dressé acte en présence des sieurs Louis Nicolas Pirnay, cordonnier, âgé de vingt huit ans, frère du contractant, demeurant à Juslenville, mairie de Theux, de Jean François Boniver, journalier, âgé de trente sept ans, demeurant à Theux, de Dieudonné Dessaucy, cultivateur, âgé de vingt cinq ans, frère de la contractante, demeurant au dit Sassor, et de Henri Joseph Gaye, appariteur, âgé de trente neuf ans, demeurant au dit Theux, et après avoir reçu lecture du présent acte, ont les contractants, leurs pères et les quatre témoins signés avec nous, la mère du contractant a déclaré sans savoir le faire.
M 16/08/1823 Jean Baptiste JASON et Marie Catherine LECHANOINE (n°15)
L’An mil huit cent vingt trois, du mois d’Août le seizième jour, à neuf heures du matin, par devant Nous, Constantin Albert de Marteau, échevin délégué aux fonctions d’officier de l’état civil de la commune de Theux, canton, de Spa, district de Verviers, province de Liège, sont comparus en notre maison commune et publiquement le sieur, Jean Baptiste Jason, forgeron, âgé de quarante cinq ans, deux mois, né à Theux, le treize juin an mil sept cent septante huit, comme il est constaté par un registre aux actes de naissances de l’église paroissiale de Theux, reposant aux archives de l’état civil de cette commune, majeur, fils des défunts Adam François Jason et Marie Elisabeth Gohy, décédés, en cette commune, le premier, le huit mai an mil huit cent dix huit, la seconde le trois may an mil huit cent vingt un, comme il est constaté par les registres aux actes de l’état civil de cette commune.
Et, La demoiselle Marie Catherine Lechanoine, ménagère, âgée de trente deux ans, demeurant à Theux, née au même lieu, le vingt neuf août mil sept cent nonante un comme il en conste par un registre aux actes de l’état civil de cette commune, majeure, fille du sieur Jean Laurent Lechanoine, décédé au même lieu, le onze janvier an mil sept cent nonante quatre, comme il est également constaté par les registres aux actes de l’état civil de cette commune, et de Marie Gertrude Depresseux, ménagère, ci présente et consentante, demeurants à Theux, .
Lesquels nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont les publications ont été faites devant la principale porte d’entrée de notre maison commune les dimanches vingt sept juillet dernier et sept du courant aux deux heures de relevée. Aucune opposition au dit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à leur réquisition et après avoir donné lecture de toutes les pièces ci-dessus mentionnées et du chapitre six du titre du code civil intitulé du mariage, avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veuillent se prendre pour mari et pour femme ; chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement, déclarons au nom de la loi que les dits Jean Baptiste Jason et Marie Catherine Lechanoine sont unis par le mariage. De tout quoi nous avons dressé acte en présence des sieurs Jean Jacques Jason, forgeron, âgé de quarante neuf ans, frère du contractant, demeurant à Juslenville, mairie de Theux, de Gilles Joseph Lechanoine, maître maçon, âgé de trente quatre ans, frère de la contractante, de Jean François Jason, propriétaire, âgé de trente huit ans, cousin germain de la contractante, et de Jean Nicolas Michotte, menuisier, âgé de vingt deux ans, cousin germain de la contractante, demeurants à Theux, et après avoir reçu lecture du présent acte ont les déclarants, la mère de la contractante et les quatre témoins signé avec nous.
M 24/08/1823 Remacle Joseph HERVE et Marie Martine DIWEUX (n°16)
L’An mil huit cent vingt trois, du mois d’août, le dimanche vingt quatrième jour, à dix heures du matin, par devant Nous, Constantin Albert de Marteau, échevin délégué aux fonctions d’officier de l’état civil de la commune de Theux, canton, de Spa, district de Verviers, province de Liège, sont comparus en notre maison commune et publiquement le sieur Remacle Joseph Herve, foulon, âgé de trente sept ans, sept mois, né dans cette commune le quinze janvier an mil sept cent quatre vingt six, comme il en conste par un registre aux actes de naissance de l‘église paroissiale de Theux, déposé aux archives de l’état civil de cette mairie, demeurant au dit Theux, veuf de Marie Anne Joseph Ziane, décédée à Belvaux, commune de Limbourg, le vingt trois septembre an mil huit cent vingt un comme il est constaté par l’extrait de son acte de décès délivré hier par Monsieur J.B. Delcour Bourgmestre président, officier de l’état civil de la commune du dit Embourg, majeur fils du Sieur, Henri Joseph Herve, foulon, ci présents et consentant demeurant au dit Belvaux, et de Marie Joseph Boniver, décédée à Juslenville petite, hameau dépendant de cette commune, le quinze janvier mil huit cent quatorze, comme il en conste par le registre aux actes de l »état civil de cette commune, pour la même année.
Lequel a justifié d’avoir satisfait à ses obligations sous le rapport de la milice nationale conformément au vœu de la loi du huit janvier mil huit cent dix sept.
Et Marie Martine Diweux, journalière, âgée de vingt cinq ans, sept mois, demeurant à Saint André, canton de Dalhelm, née au même lieu, le vingt nivose de l’an six /: ère républicain :/ correspondant au huit janvier an mil sept cent nonante huit, majeure, fille des défunts, Jean Noël Diweux et Anne Marie Orban, décédés à Mortier, le premier, le trente novembre an mil huit cent dix neuf, la seconde, le huit février an mil huit cent vingt, comme il est constaté par les extraits d’actes de naissance et de décès délivrés le trois et sept juillet, dernier, par Messieurs J.F. Leroy, mayeur de Saint André, et Monamy, mayeur de Mortier.
Lesquels nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont les publications ont été faites devant la principale porte d’entrée de notre maison commune les dimanches treize et vingt juillet dernier aux deux heures de relevée, et au dit Saint André les dimanches vingt et vingt sept du même mois, comme il est constaté par le certificat de publications des promesses réciproques de mariage, délivré le trente un du dit mois de juillet, par le dit Monsieur Leroy, aucune opposition au dit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à leur réquisition, après avoir donné lecture des pièces ci-dessus mentionnées, et du certificat constatant que la contractante, n’a plus ni aïeuls ni aïeules, tant du côté paternel que maternel pour consentir à son mariage, délivré par le dit, Monsieur Leroy, sous la date du trente un juillet coulé, avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veuillent se prendre pour mari et pour femme ; chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement, déclarons au nom de la loi que les dits Remacle Joseph Herve et Marie Martine Diweux, sont unis par le mariage, de tout quoi nous avons dressé acte en présence des sieurs Mathieu François Sarlet, négociant, âgé de quarante quatre ans, Beau frère du contractant, demeurant à Theux, de Pierre Joseph Lardinois, Journalier, âgé de soixante trois ans, demeurant à Juslenville petite ; de Jean Nicolas Joseph Leligué, cultivateur, âgé de quarante six ans, demeurant à Oneux, village dépendant de cette commune, et de Henri Joseph Gaye, appariteur, âgé de trente neuf ans, demeurant à Theux, et après avoir reçu lecture du présent acte, ont le contractant et les quatre témoins signé avec nous ; la contractante et le père du contractant ont déclaré ne savoir le faire.
M 15/09/1823 Hubert Joseph SIMAR et Marie Elisabeth JASON (n°18)
L’An mil huit cent vingt trois, du mois de septembre le quinzième jour, à sept heures du matin, par devant Nous, Constantin Albert de Marteau, échevin délégué aux fonctions d’officier de l’état civil de la commune de Theux, canton, de Spa, district de Verviers, province de Liège, sont comparus en notre maison commune et publiquement le sieur Hubert Joseph Simar ouvrier fileur, par mécanique, âgé de vingt quatre ans, quatre mois, né à Grand Rechain, le vingt quatre mars an mil sept cent nonante neuf, comme il est constaté par l’extrait de son acte de naissance août dernier, par Monsieur Maréchal, mayeur du dit lieu, mineur, fils de Walter Joseph Simar, décédé à Theux, le vingt six septembre dernier comme il en conste du registre aux actes de décès de la même année et de Marie Elisabeth Lignoul, journalière, ci présente et consentante, demeurants à Theux.
Lequel a justifié d’avoir satisfait à ses obligations sous le rapport de la milice nationale conformément à la loi du huit janvier mil huit cent dix sept.
Et Marie Elisabeth Jason, couturière, âgé de vingt un ans, deux mois, née dans cette commune, le vingt juin an mil huit cent deux, comme il en conste, par le registre aux actes de naissances de la même année, Mineure, fille du sieur Jean Jacques Jason, forgeron, et de Marie Catherine Jason, couturière, ci présents et consentants, demeurants à Juslenville, mairie de Theux.
Lesquels nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont les publications ont été faites devant la principale porte d’entrée de notre maison commune les dimanches vingt quatre et trente un août dernier aux deux heures de relevée. Aucune opposition au dit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à leur réquisition et après avoir donné lecture de toutes les pièces ci-dessus mentionnées et du chapitre six du titre du code civil intitulé du mariage, avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veuillent se prendre pour mari et pour femme ; chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement, déclarons au nom de la loi que les dits Hubert Joseph Simar et Marie Elisabeth Jason, sont unis par le mariage, de tout quoi nous avons dressé acte en présence des sieurs Hermès Alexandre Leligué, maréchal Ferrant, âgé de trente ans, d’Antoine Joseph Jehin, cultivateur, âgé de quarante ans, oncles par alliance de la contractante, demeurants au dit Juslenville, de Mathieu Joseph Pirlot, ouvrière de fabrique, âgé de vingt six ans et d’Adam François Delforge, cultivateur, âgé de quarante ans, demeurants à Theux, et après avoir reçu lecture du présent acte, ont les dits Hubert Joseph Simar, Jean Jacque Jason, Marie Catherine Jason, Hermès Alexandre Leligué, Mathieu Joseph Pirlot et Adam François Delforge, signés avec nous, la contractante, la mère du contractant et Antoine Joseph Jehin l’un des témoins ont déclaré ne savoir le faire.
M 15/10/1823 Lambert Joseph PIRET et Marie Thérèse DECHENEUX (n°23)
L’An mil huit cent vingt trois, du mois d’octobre le quinzième jour, à onze heures du matin, par devant Nous, Walthère Lecomte, premier échevin de la commune de Theux, canton, de Spa, district de Verviers, province de Liège, sont comparus en notre maison commune et publiquement le sieur, Lambert Joseph Piret, charon, âgé de vingt cinq ans, six mois, ayant son domicile de droit à Petit Rechain, et de fait à Verviers, né au dit Petit Rechain, le trois floréal an six/ :ère républicain:/ correspondant au vingt deux avril an mil sept cent quatre vingt dix huit, comme il est constaté par l’extrait de son acte de naissance délivré le vingt trois septembre dernier par Monsieur Sage homme, échevin de la commune de Dison, majeur fils du sieur Lambert Piret, Charon et de Catherine Christiane ménagère, ci présents et consentants, demeurants au même lieu de Petit Rechain.
Lequel a justifié d’avoir satisfait à ses obligations sous le rapport de la milice nationale conformément à la loi du sept (sic) janvier mil huit cent dix sept.
Et la demoiselle Marie Thérèse Decheneux, cultivatrice, âgée de dix neuf ans, onze mois, née dans cette commune le quatorze brumaire de l’an douze / :ère Républicain:/ correspondant au six novembre mil huit cent trois, mineure, fille du sieur Jean Jacque Decheneux décédé à Mont, mairie de Theux le douze mars an mil huit cent et seize, comme il est constaté par les registres aux actes de l’état civil de cette commune, et de la dame Marie Marguerite Gohy, propriétaire ci présente et consentante, demeurants au dit Mont.
Lesquels nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont les publications ont été faites devant la principale porte d’entrée de notre maison commune les dimanches vingt huit septembre dernier et cinq de ce mois et au dit Petit Rechain, les dimanches cinq et douze du courant, comme il est constaté par le certificat de publications des promesses de mariage, délivré aujourd’hui Leboeuv (?) échevin de la commune du dit petit Rechain. Aucune opposition au dit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à leur réquisition et après avoir donné lecture de toutes les pièces ci-dessus mentionnées et du chapitre six du titre du code civil intitulé du mariage, avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veuillent se prendre pour mari et pour femme ; chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement, déclarons au nom de la loi que les dits Lambert Joseph Piret et Marie Thérèse Decheneux, sont unis par le mariage, de tout quoi nous avons dressé acte en présence des sieurs Pierre Jacque Joseph Piret, charon, âgé de vingt trois ans, frère du contractant, demeurant au dit Petit Rechain, de Laurent Joseph Bouffa, propriétaire, âgé de cinquante ans, oncle par alliance de la contractante, demeurant à Theux, de Jean Paul Denis, cultivateur, âgé de trente ans, cousin germain de la contractante et de Jean Laurent Mignon, domestique, âgé de trente huit ans, demeurant au dit Mont, et après avoir reçu lecture du présent acte, ont les contractants les père et mère du contractant et les quatre témoins signés avec nous, la mère de la contractante a déclaré ne savoir le faire.
M 24/11/1823 Hubert Joseph COUNET et Margueritte Joseph JASON (n°30)
L’An mil huit cent vingt trois, du mois de novembre le vingt quatrième jour, à huit heures du matin, par devant Nous, Constantin Albert de Marteau, échevin délégué aux fonctions d’officier de l’état civil de la commune de Theux, sont comparus en notre maison commune et publiquement le sieur, Hubert Joseph Counet, ouvrier de fabrique, âgé de trente ans, huit mois, demeurant à Juslenville, commune de Theux, né à Oneux, même commune, le quinze mars an mil sept cent quatre vingt et treize, majeur, fils de Henri Counet et de Catherine Decerf, décédés au dit Oneux, le premier le dix juillet dernier, la seconde le quatre mars an mil huit cent six, comme il est constaté par les registres aux actes de l’état civil de cette commune.
Lequel a justifié d’avoir satisfait à ses obligations sous le rapport de la milice nationale conformément à la loi du sept (sic) janvier mil huit cent dix sept.
Et la demoiselle Margueritte Joseph Jason, journalière, âgée de vingt ans, quatre mois, née à Juslenville, le vingt quatre Messidor, de l’an onze / :ère républicain:/ correspondant au treize juillet, mil huit cent et trois, mineure, fille du sieur Jean François Jason, cultivateur, et de Jeanne Joseph Foyr, ménagère, ci présents et consentants demeurants au dit Juslenville.
Lesquels nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont les publications ont été faites devant la principale porte d’entrée de notre maison commune les dimanches neuf et seize de ce mois aux deux heures de relevée. Aucune opposition au dit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à leur réquisition et après avoir donné lecture des pièces ci-dessus mentionnées et du chapitre six du titre du code civil intitulé du mariage, avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veuillent se prendre pour mari et pour femme ; chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement, déclarons au nom de la loi que les dits Hubert Joseph Counet et Margueritte Joseph Jason sont unis par le mariage. De tout quoi nous avons dressé acte en présence des sieurs Jean Joseph Counet cultivateur, âgé de trente un ans, frère du contractant demeurant à Spixhe mairie de Theux, de Jean Lambert Depresseux, garde forestier, âgé de soixante trois ans, de François Demazure, cordonnier, âgé de quarante cinq ans, et de Jean Guillaume Warnotte, maréchal ferrant, âgé de soixante ans, demeurants à Theux, et après avoir reçu lecture du présent acte, ont les dits Depresseux, Demazure et Jean Guilleaume Warnotte, signés avec nous, les parties contractantes les père et mère de la contractante et le dits Jean Joseph Counet ont déclaré ne savoir le faire.
M 07/01/1824 Jean Louis JEUNECHAMPS et Anne Catherine D’ADSEUX (n°01)
L’An mil huit cent vingt quatre, du mois de janvier le septième jour, à dix heures du matin, par devant Nous, Constantin Albert de Marteau, échevin délégué aux fonctions d’officier de l’état civil de la commune de Theux, canton, de Spa, district de Verviers, province de Liège, par arrêté de Monsieur Antoine Joseph Dandrimont, mayeur de Theux, en date du quinze may mil huit cent vingt trois, sont comparus en notre maison commune et publiquement, le sieur Jean Louis Jeunechamps, foulon, âgé de trente sept ans, deux mois, demeurant à Theux, né dans la commune d’Aywaille, le vingt huit octobre an mil sept cent quatre vingt six, comme il est constaté par l’extrait de son acte de naissance lui délivré par Monsieur C.S. Piromboeuf, Maire du dit lieu, Majeur, fils du sieur Toussaint Jeunechamps, écrivain, et de Marie Jeanne Lejeune, ménagère demeurants à Theux, ci présents et consentants. Lequel a justifié d’avoir satisfait à ses obligations sous le rapport de la milice nationale conformément au vœu de la loi du huit janvier mil huit cent dix sept.
Et la demoiselle Anne Catherine D’adseux, couturière, âgée de vingt deux ans, quatre mois, née au dit Theux, le vingt six août mil huit cent et un, mineure, fille du sieur Pierre Joseph D’adseux, cultivateur, et de Jeanne Joseph Lechanoine, ménagère, ci présents et consentants, demeurant à Theux.
Lesquels nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont les publications ont été faites devant la principale porte d’entrée de notre maison commune les dimanches quatorze et vingt un décembre dernier aux deux heures de relevée. Aucune opposition au dit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à leur réquisition, après avoir donné lecture en présence des parties et des témoins, de toutes les pièces ci-dessus mentionnées et du chapitre six du titre du code civil intitulé du mariage, avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veullent se prendre pour mari et pour femme ; chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement, déclarons au nom de la loi que les dits Jean Louis Jeunechamps et Anne Catherine D’adseux sont unis par le mariage, de tout quoi nous avons dressé acte en présence des sieurs Toussaint Jeunechamps, fileur par mécaniques, âgé de quarante ans, frère du contractant, demeurant à Spixhe, mairie de Theux, de Jean Lambert D’adseux, fileur par mécanique âgé de vingt quatre ans, frère de la contractante, de Jean Henri Joseph Delcour, journalier, âgé de vingt cinq ans, cousin germain de la contractante, et de Henri Joseph Gaye, appariteur, âgé de trente neuf ans, demeurants à Theux, et après avoir reçu lecture du présent acte, ont les contractants, leurs pères et mère et les quatre témoins signé avec nous, la mère du contractant a déclaré ne savoir le faire.
M 07/01/1824 Jean Nicolas DYON et Catherine Claire JASON (n°02)
L’An mil huit cent vingt quatre, du mois de janvier le septième jour, à onze heures du matin, par devant Nous, Constantin Albert de Marteau, échevin délégué aux fonctions d’officier de l’état civil de la commune de Theux, canton, de Spa, district de Verviers, province de Liège, sont comparus en notre maison commune et publiquement le sieur, Jean Nicolas Dyon, domestique, âgé de quarante deux ans, né dans cette commune le vingt six décembre an mil sept cent quatre vingt un, comme il est constaté par un registre aux actes de naissances de l’église paroissiale de Theux reposant aux archives de l’état civil de cette commune demeurant au dit Theux, Majeur, fils des défunts Nicolas Dyon et Marie Jeanne Thomé décédés en cette commune le premier le quatre may an mil huit cent huit, la seconde le seize décembre an mil sept cent nonante un, comme il est constaté par les registres aux actes de décès reposant dans les archives de cette Mairie.
Lequel a justifié d’avoir satisfait à ses obligations sous le rapport de la milice nationale conformément au vœu de la loi du huit janvier mil huit cent dix sept.
Et, Catherine Claire Jason, servante, âgée de trente sept ans, six mois, née au dit Theux, le dix neuf juin an mil sept cent quatre vingt six, comme il est constaté par un registre aux actes de naissance de l’église paroissiale de Theux reposant dans les archives de cette mairie, majeure, fille des défunts Noé Jason et Catherine Claire Pouhaud, décédés en cette commune, le premier le trente août an mil sept cent nonante un, la seconde le seize avril mil huit cent dix, comme il est constaté par le registre aux actes de décès reposant dans les archives de cette mairie.
Lesquels nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont les publications ont été faites devant la principale porte d’entrée de notre maison commune les dimanches vingt un et vingt huit décembre dernier aux deux heures de relevée. Aucune opposition au dit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à leur réquisition et après avoir donné lecture de toutes les pièces ci-dessus mentionnées et du chapitre six du titre du code civil intitulé du mariage et avoir reçu la déclaration sermentelle des contractants et des quatre témoins, qu’ils n’ont plus ni aïeuls ni aïeules tant paternels que maternels pour consentir à leur mariage, avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veullent se prendre pour mari et pour femme ; chacun d’eux ayant répondu séparémentet affirmativement, déclarons au nom de la loi que les dits Jean Nicolas Dyon et Catherine Claire Jason, sont unis par le mariage, de tout quoi nous avons dressé acte en présence des sieurs Noé François Moureau, négociant, âgé de quarante trois ans, cousin germain de la contractante, demeurant à Spixhe, mairie de Theux, de Hubert François Lepersonne, négociant, âgé de trente cinq ans, cousin germain par alliance de la contractante, de Jean François Fraipont, propriétaire, âgé de trente cinq ans, et de Jean Pierre Lepersonne, platineur, âgé de quarante demeurants à Theux, et après avoir reçu lecture du présent acte, ont les quatre témoins, signé avec nous, ans, Les parties contractantes ont déclaré ne savoir le faire.
M 21/06/1824 Arnold Joseph GOHY et Marie Jeanne MASSAY (n°11)
L’An mil huit cent vingt quatre, du mois de juin le vingt unième jour, à huit heures du matin, par devant Nous, Constantin Albert de Marteau, échevin délégué aux fonctions d’officier de l’état civil de la commune de Theux, canton, de Spa, district de Verviers, province de Liège, sont comparus en notre maison commune et publiquement le sieur, Arnold Joseph Gohy, domestique, âgé de trente six ans, un mois, demeurant à Stembert, né dans cette commune le dix sept mai an mil sept cent quatre vingt et huit, fils de Joseph Gohy, décédé à Jevoumont, mairie de Theux, le deux juillet mil huit cent dix sept, et de Marie Margueritte Vincent, décédée au même lieu, le dix neuf novembre an mil sept cent quatre vingt et huit, comme il est constaté par les registres de l’état civil de cette commune, ses aïeuls et aïeules, étant aussi décédé, nous avons reçu la déclaration sermentelle du futur et des quatre témoins ci après dénommés, qu’il est à leur parfaite connaissance qu’ils sont décédés. Lequel a justifié d’avoir satisfait à ses obligations sous le rapport de la milice nationale conformément au vœu de la loi du huit janvier mil huit cent dix sept.
Et Marie Jeanne Massay, journalière, âgé de trente deux ans, deux mois, née à Theux, le trente un mars mil sept cent quatre vingt et douze, comme il en conste par un registre aux actes de naissances de cette commune, majeure, fille de Renier Joseph Massay, décédé à Malmédy, le huit juin an mil sept cent nonante trois, comme il est constaté par l’extrait de son acte de décès délivré le neuf de ce mois par monsieur Fredi Lauq, officier de l’état civil de la ville du dit Malmédy, et de Marie Jeanne Closset, fileuse, ci présente et consentante, demeurants à Theux.
Lesquels nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont les publications ont été faites devant la principale porte d’entrée de notre maison commune les dimanches six et treize de ce mois aux deux heures de relevée et au dit Stembert les mêmes jours, comme il est constaté par le certificat de publication des promesses réciproques de mariage, délivré le dix neuf du courant par Monsieur J. Decourty, échevin de la commune dudit Stembert, Aucune opposition au dit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à leur réquisition et après avoir donné lecture de toutes les pièces ci-dessus mentionnées et du chapitre six du titre du code civil intitulé du mariage et avoir reçu la déclaration sermentelle des contractants et des quatre témoins, qu’ils n’ont plus ni Aïeuls ni aïeules tant paternels que maternels pour consentir à leur mariage, avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veullent se prendre pour mari et pour femme ; chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement, déclarons au nom de la loi que les dits Arnold Joseph Gohy et Marie Jeanne Massay sont unis par le mariage, de tout quoi nous avons dressé acte en présence des sieurs Antoine Joseph Thomson, roulier, âgé de vingt cinq ans, frère utérain de la contractante, d’Orban Baywir, domestique, âgé de vingt neuf ans, demeurants à Theux, de Jean Joseph Gohy, journalier, âgé de quarante ans, frère du contractant, demeurant à Jevoumont et de Nicolas Massay, Tisserand, âgé de vingt quatre ans, cousin germain de la contractante, demeurant à Malmédy et après avoir reçu lecture du présent acte, a le dit Massay signé avec nous, les parties contractantes, la mère de la contractante et les dits Thomson, Gohy et Baiwyr, ont déclaré ne savoir le faire.
M 20/07/1824 Pierre Joseph HENRICOT et Marie Louise PONCIN (n°13)
L’An mil huit cent vingt quatre, du mois de juillet le vingtième jour, à neuf heures du matin, par devant Nous, Constantin Albert de Marteau, échevin délégué aux fonctions d’officier de l’état civil de la commune de Theux, canton, de Spa, district de Verviers, province de Liège, sont comparus en notre maison commune et publiquement le sieur Pierre Joseph Henricot, ouvrier fileur par mécaniques, âgé de quarante huit ans, six mois, demeurant à Mousset mairie de Theux, né à Merleux arrondissement de Marche le vingt huit décembre an mil sept cent soixante et quinze, ainsi qu’il conste de l’expédition de l’acte de naissance qu’il a produit lors de son mariage avec Marie Magdelaine Boniver, avenu devant l’officier de l’état civil de cette commune, le dix neuf mai an mil huit cent dix, veuf en premières noces de Marie Anne Gillard, décédée à Rochefort le cinq novembre an mil huit cent huit, comme il est constaté par l’extrait de l’acte de décès délivré le quatre avril mil huit cent dix, en seconde noces de la dite Boniver, décédée à Pepinster, village de cette commune, le sept janvier an mil huit cent vingt trois, comme il en conste par les registres de l’état civil de cette commune, majeur fils du sieur Noël Henricot, cultivateur, demeurant à Hotton, canton de Marche, lequel a fait et commis pour son mandataire spécial pour consentir au mariage de son fils la personne du sieur Jean Nicolas de Hansez, secrétaire de cette commune demeurant au dit Theux et Brida (?) Remacle, décédée au dit Hotton le vingt mars mil sept cent quatre vingt cinq, l’extrait de son acte de décès a aussi été produit.
Et Marie Louise Poncin, servante, âgée de quarante ans, quatre mois, demeurant à Saint hadelin commune d’Olne, née à Xhoris, le vingt mars an mil sept cent quatre vingt quatre, fille des défunts Jean François Poncin et Marie Anne Dupas, décédés au même lieu de Xhoris, le premier, le huit février an mil sept cent quatre vingt dix sept, la seconde le neuf mai an mil huit cent, comme il conste des actes de naissances et de décès délivré le quatorze novembre mil huit cent vingt par Monsieur J.Lefer, maire adjoint de la commune du dit Xhoris, légalisé par monsieur le président du tribunal civil séant à Huy le vingt quatre du dit mois de novembre ses aïeuls et aïeules étant aussi décédés nous avons reçu la déclaration sermentelle de la future et des quatre témoins qu’il est a leur parfaite connaissance qu’ils sont décédés.
Lesquels nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont les publications ont été faites devant la principale porte d’entrée de notre maison commune les dimanches vingt sept juin et quatre de ce mois aux deux heures de relevée et à Olne les dimanches quatre et onze du courant, comme il est constaté par le certificat de publication des promesses réciproques de mariage délivré le dix neuf présent mois par Monsieur C.M. Regnier, échevin de la commune du dit Olne, aucune opposition au dt mariage ne nous ayant été signifiées, faisant droit à leur réquisition, après avoir donné lecture des pièces ci-dessus mentionnées et du chapitre six du titre du code civil intitulé du mariage, avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veullent se prendre pour mari et pour femme ; chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement, déclarons au nom de la loi que les dits Pierre Joseph Henricot et Marie Louise Poncin sont unis par le mariage, de tout quoi nous avons dressé acte en présence des sieurs Lambert Poncin, domestique, âgé de quarante sept ans, frère de la contractante, demeurant dans la commune d’Olne, de Jean Lambert Depresseux, garde forestier, âgé de soixante deux an, de Jean Lambert Houbeau, cultivateur, âgé de trente ans, et de Toussaint Joseph Dehansez, écrivain, âgé de vingt un ans, et demeurants à Theux, et après avoir reçu lecture du présent acte, ont le contractant, les dits De Hansez, consentant, et les sieurs de Hansez, Depresseux, et Houbeau, trois des dits Témoins signé avec nous, la contractante et Lambert Poncin ont déclaré ne savoir le faire.
M 07/08/1824 Mathieu Joseph DUMONT et Marie Thérèse BERTRAND (n°14)
L’An mil huit cent vingt quatre, du mois d’Août le septième jour, à neuf heures du matin, par devant Nous, Constantin Albert de Marteau, échevin délégué aux fonctions d’officier de l’état civil de la commune de Theux, canton, de Spa, district de Verviers, province de Liège, sont comparus en notre maison commune et publiquement le sieur Mathieu Joseph Dumont, cultivateur, âgé de trente ans, trois mois, demeurant à Jevoumont, mairie de Theux, né au même lieu le vingt trois avril an mil sept cent nonante quatre, comme il en conste par le registre aux actes de naissances de l’église paroissiale de Theux reposant aux archives de l’état civil de cette commune, Majeur, fils du sieur Mathieu Dumont, propriétaire, et de Reine Jehin, ménagère, ci présents et consentants, demeurant au dit Jevoumont.
Lequel a justifié d’avoir satisfait à ses obligations sous le rapport de la milice nationale conformément au vœu de la loi du huit janvier mil huit cent dix sept.
Et la demoiselle Marie Thérèse Bertrand, cultivatrice, âgée de vingt neuf ans, sept mois, née au dit Jevoumont, le sept janvier an mil sept cent quatre vingt et quinze, veuve de Hubert Joseph Leligué, décédé au même lieu, le premier juillet an mil huit cent vingt trois, majeure, fille du sieur Laurent Joseph Bertrand, cultivateur, ci présent et consentant, demeurant au dit Jevoumont, et de Marie Catherine Renard, décédée au même lieu, le dix huit janvier mil huit cent et trois, comme il est constaté par les registres de l’état civil de cette commune.
Lesquels nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont les publications ont été faites devant la principale porte d’entrée de notre maison commune les dimanches premier et neuf mai dernier aux deux heures de relevée. Aucune opposition au dit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à leur réquisition et après avoir donné lecture de toutes les pièces ci-dessus mentionnées et du chapitre six du titre du code civil intitulé du mariage, avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veullent se prendre pour mari et pour femme ; chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement, déclarons au nom de la loi que les dits Mathieu Joseph Dumont et Marie Thérèse Bertrand sont unis par le mariage, de tout quoi nous avons dressé acte en présence des sieurs Laurent Joseph Bertrand, cultivateur, âgé de vingt trois ans, frère de la contractante, demeurant au dit Jevoumont, de Toussaint Joseph Jason, forgeron, âgé de soixante neuf ans, oncle paternel de la contractante, de Toussaint Joseph De Hansez, écrivain, âgé de vingt un ans, et de Henri Joseph Gaye, appariteur, âgé de quarante ans, demeurants à Theux, et après avoir reçu lecture du présent acte, ont les contractants, les père et mère du contractant, et les quatre témoins signé avec nous, Laurent Joseph Bertrand a déclaré ne savoir le faire.
M 02/01/1825 Antoine Joseph THOMSON et Marie Anne CLEBAN (n°01)
L’An mil huit cent vingt cinq, du mois de janvier le deuxième jour, à six heures du soir, par devant Nous, Walthère Lecomte, premier échevin, faisant les fonctions d’officier de l’état civil de la commune de Theux, canton, de Spa, district de Verviers, province de Liège en l’absence de Monsieur De Marteau son collègue délégué à cet effet, sont comparus en notre maison commune et publiquement le sieur, Antoine Joseph Thomson, journalier, âgé de vingt cinq ans, six mois, né dans cette commune le vingt cinq juin mil sept cent nonante neuf, comme il est constaté par le registre aux actes de naissances de cette commune, majeur, fils du sieur Antoine Joseph Thomson, journalier et de Marie Jeanne Closset, ménagère, ci présente et consentante, demeurants à Theux.
Lequel a justifié d’avoir satisfait à ses obligations sous le rapport de la milice nationale.
Et, Marie Anne Cléban, servante, âgée de trente trois ans, onze mois, demeurant à Theux, née dans la commune de Poleur, le sept janvier an mil sept cent quatre vingt et onze, comme il est constaté par l’extrait de son acte de naissance déliré le vingt deux décembre dernier, par Monsieur Henri A . Caro, échevin, officier de l’état civil de la commune du dit Poleur, Majeure, fille de Hubert Joseph Cléban, décédé au village de Ronde Haye mairie de Theux le trente un juillet mil huit cent dix sept, comme il en conste par le registre aux actes de l’état civil de la même année, et Marie Catherine Deru, décédée à Poleur, le vingt huit janvier mil sept cent nonante quatre, comme il est constaté par l‘extrait de son acte de décès délivré le vingt deux décembre dernier, par le dit Monsieur Caro ;
Lesquels nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont les publications ont été faites devant la principale porte d’entrée de notre maison commune les dimanches vingt six décembre dernier et deux de ce mois, aucune opposition au dit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à leur réquisition et après avoir donné lecture de toutes les pièces ci-dessus mentionnées et du chapitre six du titre du code civil intitulé du mariage, avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veullent se prendre pour mari et pour femme ; chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement, déclarons au nom de la loi que les dits Antoine Joseph Thomson et Marie Anne Cléban sont unis par le mariage, De tout quoi nous avons dressé acte en présence des sieurs Arnold Joseph Gohy, berger, âgé de trente neuf ans, beau frère du contractant utérain, de Jean Lambert Dieupart, cabaretier, âgé de trente trois ans, demeurants à Theux, de Théodore Joseph Sottrez, journalier, âgé de vingt un ans, demeurant à Forge Thiry, et de Noé Joseph Rivoux, maître tisserand, âgé de quarante huit ans, demeurant à Theux, et après avoir reçu lecture du présent acte, ont le contractant et Théodore Joseph Sottrez, l’un des contractants, signés avec nous.la contractante, les père et mère du contractant et les trois autres témoins ont déclaré ne savoir le faire.
M 11/04/1825 Arnold Joseph RENARD et Anne Marie RENIER (n°08)
L’An mil huit cent vingt cinq, du mois d’avril le onzième jour, à deux heures de relevée, par devant Nous, Constantin Albert de Marteau, échevin délégué aux fonctions d’officier de l’état civil de la commune de Theux, canton, de Spa, district de Verviers, province de Liège, sont comparus en notre maison commune et publiquement le sieur, Arnold Joseph Renard, tisserand, âgé de soixante quatre ans, six mois, demeurant à Ensival, né au dit Ensival le premier octobre an mil sept cent soixante, comme il est constaté par l’extrait de son acte de naissance délivré le vingt quatre mars mil huit cent vingt cinq, par Monsieur Delrez, Mayeur du dit Ensival, veuf de Catherine Joseph Jason, décédéé à Ensival le trois septembre mil huit cent vingt quatre, majeur, fils des défunts Godard Renard et d’Anne Catherine Naigneux décédés au prédit Ensival, le premier le vingt six novembre an mil sept cent quatre vingt trois, la seconde le premier pluviose an trois /ère républicain/ correspondant au vingt janvier mil sept cent nonante cinq, comme il est constaté par les extraits de leurs actes de décès délivré le vingt quatre mars dernier par le dit Monsieur Delrez, Mayeur.
Et Anne Marie Renier, servante, âgée de quarante sept ans, née dans la commune de Reid, le huit août an mil sept cent septante sept, comme il est constaté par l’extrait de son acte de naissance délivré le vingt mars dernier par Monsieur J.H. Leroy, échevin, officier de l’état civil de la commune de Reid, demeurant à Spixhe, mairie de Theux, majeure, fille légitime des défunts Martin Renier et de Marie Bourgeois, décédés au dit Reid, le premier le dix avril an mil sept cent nonante quatre, la seconde, le dix neuf janvier an mil sept cent nonante sept, comme il est également constaté par les extraits de leurs actes de décès délivrés le vingt trois mars dernier par Monsieur Leroy.
Lesquels nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont les publications ont été faites devant la principale porte d’entrée de notre maison commune les dimanches vingt sept mars dernier et trois avril courant aux deux heures de relevée et à Ensival les mêmes jours, comme il est constaté par le certificat de publication des promesses réciproques de mariage, délivré le neuf du courant par le prédit Monsieur Delrez, mayeur d’Ensival. Aucune opposition au dit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à leur réquisition, après avoir donné lecture de toutes les pièces ci-dessus mentionnées et du chapitre six du titre du code civil intitulé du mariage et avoir reçu la déclaration sermentelle des contractants et des quatre témoins, qu’ils n’ont plus ni Aïeuls ni aïeules tant paternels que maternels pour consentir à leur mariage, avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veullent se prendre pour mari et pour femme ; chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement, déclarons au nom de la loi que les dits Arnold Joseph Renard et Anne Marie Renier sont unis par le mariage. De tout quoi nous avons dressé acte en présence des sieurs Jean Joseph Nantulle, propriétaire, âgé de cinquante un ans, demeurant à Spixhe, mairie de Theux, de Nicolas Joseph Colette, ouvrier de fabrique, âgé de trente cinq ans, de Gaspard Joseph Delwaide, tisserand, âgé de vingt six ans, demeurants à Ensival, et de Jean Joseph Jehin, maître maçon âgé de quarante ans, demeurant à Theux, et après avoir reçu lecture du présent acte, ont le contractant et les quatre témoins signé avec nous, la contractante a déclaré ne savoir écrire.,
M 14/07/1825 Urbain Joseph BAIWIR et Marie François JEHIN (n°16)
L’An mil huit cent vingt cinq, du mois de juillet le quatorzième jour, à deux heures de l’après midi, par devant Nous, Constantin Albert de Marteau, échevin délégué aux fonctions d’officier de l’état civil de la commune de Theux, canton, de Spa, district de Verviers, province de Liège, sont comparus en notre maison commune et publiquement le sieur Urbain Joseph Baiwir, domestique, âgé de trente ans, onze mois, demeurant à Theux, né à Lierneux le quatre août an mil sept cent nonante quatre, comme il en conste par l’extrait de son acte de naissance délivré le douze juin dernier par Monsieur Jean Lambert Vilenne, secrétaire de la commune du dit Lierneux, majeur, fils du sieur Lambert Joseph Baiwir, cloutier et de Marie Jeanne Bonyeux ménagère demeurant au dit Lierneux ci présente et consentante.
Lequel a justifié d’avoir satisfait à ses obligations sous le rapport de la milice nationale conformément au vœu de la loi du huit janvier mil huit cent dix sept.
Et Marie Françoise Jehin, cultivatrice, âgée de trente sept ans, deux mois, quatorze jours, demeurant au dit Theux, née au même lieu le vingt avril, An mil sept cent quatre vingt huit, comme il est constaté par le registre aux actes de naissances de l’église paroissiale de Theux, reposant dans les archives de cette mairie. Fille de Guillaume Joseph Jehin, décédé au dit Theux, le vingt février, An mil huit cent et onze, comme il est également constaté par le registre aux actes de l’état civil de cette commune, et de Marie Elisabeth Benoit, bouchère, ci présente et consentante, demeurant au dit Theux.
Lesquels nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont les publications ont été faites devant la principale porte d’entrée de notre maison commune les dimanches dix neuf et vingt six juin dernier aux deux heures de relevée et au dit Lierneux les dimanches douze et dix neuf juin derniers comme il en conste par le certificat de publication des promesses réciproques de mariage délivré le premier juillet courant par Monsieur B.P. Vilenne, mayeur, officier de l’état civil de la commune du dit Lierneux.. Aucune opposition au dit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à leur réquisition et après avoir donné lecture de toutes les pièces ci-dessus mentionnées et du chapitre six du titre du code civil intitulé du mariage, avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veullent se prendre pour mari et pour femme ;chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement, déclarons au nom de la loi que les dits Urbain Joseph Baiwir et Marie Françoise Jehin sont unis par le mariage. De tout quoi nous avons dressé acte en présence des sieurs Jean Henri Baiwir, journalier, âgé de vingt huit ans, demeurant à Lierneux, frère du contractant de Antoine Joseph Jehin, berger, âgé de quarante deux ans, demeurant à Juslenville, mairie de Theux, frère de la contractante, de Jean Lambert Lincé, maître sellier, âgé de trente huit ans, de Jean Lambert Houbeau, cultivateur, âgé de trente ans, demeurants à Theux, et après avoir reçu lecture du présent acte, ont la contractante et les deux derniers témoins signé avec nous, le contractant, les père et mère du contractant, la mère de la contractante et les deux premiers témoins ont déclaré ne savoir le faire.
M 23/11/1825 Jean GEORGE et Marie Jeanne JEHIN (n°26)
L’An mil huit cent vingt cinq, du mois de novembre le vingt troisième jour, à cinq heures du soir, par devant Nous, Constantin Albert de Marteau, premier assesseur délégué aux fonctions d’officier de l’état civil de la commune de Theux, canton, de Spa, district de Verviers, province de Liège, sont comparus en notre maison commune et publiquement le sieur Jean George, cultivateur, âgé de trente quatre ans, quatre mois, demeurant à Hodbomont, mairie de Theux, né au même lieu le trois juillet an mil sept cent nonante cinq, comme il en conste par le registre aux actes de naissances de la paroisse de Theux reposant dans les archives de cette mairie, majeur, fils de Hubert George décédé au dit Hodbomont, le vingt novembre an mil huit cent vingt trois, comme il en conste par le registre aux actes de décès de cette commune et de Marie Anne Lejeune, ménagère, demeurant au dit Hodbomont….(sic) ci présente et consentante.
Et Marie Jeanne Jehin, servante, âgée de dix sept ans, onze mois, demeurant au dit Hodbomont, née dans cette commune le quinze janvier mil huit cent et huit, comme il en conste par le registre aux actes de naissances de cette commune, mineure, fille de Jean Michel Jehin, absent de cette commune depuis environ treize ans, sans qu’on puisse savoir s’il est en vie ou pas, comme il est constaté par un acte de notoriété avenu devant Maître Guillaume Joseph Delrée, notaire, royal à Theux, le seize du courant, enregistré à Spa le même jour, et de Marie Catherine Wilkin, décédée dans la commune d’Andrimont, le vingt huit décembre an mil huit cent et seize, comme il est constaté par l’extrait de son acte de décès délivré le trois octobre dernier par Monsieur J.F. Thimister, Bourgmestre de la commune du dit Andrimont.
Lesquels nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont les publications ont été faites devant la principale porte d’entrée de notre maison commune les dimanches treize et vingt du courant aux deux heures de relevée. Aucune opposition au dit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à leur réquisition et après avoir donné lecture de toutes les pièces ci-dessus mentionnées et du chapitre six du titre du code civil intitulé du mariage, avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veullent se prendre pour mari et pour femme ; chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement, déclarons au nom de la loi que les dits Jean George et Marie Jeanne Jehin sont unis par le mariage. De tout quoi nous avons dressé acte en présence des sieurs Mathieu Joseph Lejeune, charron, âgé de vingt six ans, demeurant à Louvegnez, cousin germain maternele (sic) du contractant, de Mathieu Joseph Warnotte, maréchal Ferrant, âgé de vingt trois ans, de Jean Joseph Lerange, domestique, âgé de trente cinq ans, et de Henri Joseph Gaye, appariteur, âgé de quarante un ans, demeurants à Theux, et après avoir reçu lecture du présent acte, ont le contractant et les quatre témoins signé avec nous, la contractante et la mère du contractant ont déclaré ne savoir le faire.
M 24/11/1825 Hubert Vincent GOHY et Marie Elisabeth DEJASSE (n°27)
L’An mil huit cent vingt cinq, du mois de novembre le vingt quatrième jour, à onze heures du matin, par devant Nous, Constantin Albert de Marteau, premier assesseur délégué aux fonctions d’officier de l’état civil de la commune de Theux, canton, de Spa, district de Verviers, province de Liège, sont comparus en notre maison commune et publiquement le sieur Hubert Vincent Gohy, cultivateur, âgé de vingt trois ans, demeurant à Ronde Haye, mairie de Theux, né au même lieu, le cinq brumaire an onze, ère républicain, correspondant au deux novembre mil huit cent deux, comme il en conste par le registre aux actes de naissances de cette commune mineur, fils du sieur Bertrand Gohy, cultivateur et de Cécile Noël Vincent, ménagère demeurant au dit Ronde Haye ci présente et consentante.
Lequel a justifié d’avoir satisfait à ses obligations sous le rapport de la milice nationale conformément au vœu de la loi du huit janvier mil huit cent dix sept.
Et Marie Elisabeth Dejasse, cultivatrice, âgée de vingt un ans, dix mois, demeurant à Tancrémont, hameau dépendant de cette commune, née au même lieu, le vingt sept ventose an douze de la République Française, correspondant au dix huit mars mil huit cent quatre comme il en conste également par le registre aux actes de l’état civil de cette mairie, mineure, fille de Hubert Dejasse, décédé au dit Tancrémont, le vingt huit mai mil huit cent six, comme il en conste également par le registre aux actes de l’état civil de cette commune, et de Marie Catherine Olette, cultivatrice, demeurant au prédit Tancrémont, ci présente et consentante.
Lesquels nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont les publications ont été faites devant la principale porte d’entrée de notre maison commune les dimanches treize et vingt du courant aux deux heures de relevée. Aucune opposition au dit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à leur réquisition et après avoir donné lecture de toutes les pièces ci-dessus mentionnées et du chapitre six du titre du code civil intitulé du mariage, avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veullent se prendre pour mari et pour femme ; chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement, déclarons au nom de la loi que les dits Hubert Vincent Gohy et Marie Elisabeth Dejasse sont unis par le mariage. De tout quoi nous avons dressé acte en présence des sieurs Gilles Joseph Mathonnet, garde forestier particulier, âgé de vingt neuf ans, demeurant au dit Tancrémont, beau frère du contractant, de Nicolas Arnold Delrée, propriétaire, âgé de cinquante deux ans, de Henri Joseph Gaye, appariteur, âgé de quarante un ans, demeurants à Theux, et de Nicolas Joseph Laguesse, cultivateur, âgé de quarante ans, demeurant à Poleuheid cette commune, et après avoir reçu lecture du présent acte, ont les quatre témoins signé avec nous, les contractants, les père et mère du contractant et la mère de la contractante ont déclaré ne savoir le faire.
M 27/04/1826 Jean Joseph LERANGE et Marie Judieth DUMONT (n°11)
L’An mil huit cent vingt six, du mois d’avril le vingt septième jour, à six heures du soir, par devant Nous, Constantin Albert de Marteau, premier assesseur délégué aux fonctions d’officier de l’état civil de la commune de Theux, canton, de Spa, district de Verviers, province de Liège, sont comparus en notre maison commune et publiquement le sieur, Jean Joseph Lerange, domestique, âgé de trente sept ans, onze mois, vingt deux jours, demeurant à Theux, né dans cette commune, le sept mai an mil sept cent nonante huit, comme il en conste par le registre aux actes de naissance de cette commune pour la même année, majeur, fils des défunts Joseph Lerange, et de Marie Barbe Butback décédés dans cette commune, le premier le six brumaire an quatorze de la république française, la seconde le seize novembre an mil huit cent et dix, comme il en conste également par les registres aux actes de l’état civil de cette commune.
Et Marie Judieth Dumont, cultivatrice âgée de trente quatre ans, onze mois, vingt six jours, demeurant au dit Jevoumont, née au même lieu le huit mai an mil sept cent nonante un, comme il en conste par le registre aux actes de naissances de la paroisse de Theux reposant dans les archives de cette mairie, majeure fille du sieur Mathieu Joseph Dumont, cultivateur et de Reine Jehin, ménagère, ci présents et consentants, demeurants au dit Jevoumont.
Lesquels nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont les publications ont été faites devant la principale porte d’entrée de notre maison commune les dimanches quinze et vingt tris du courant aux deux heures de relevée. Aucune opposition au dit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à leur réquisition et après avoir donné lecture de toutes les pièces ci-dessus mentionnées et du chapitre six du titre du code civil intitulé du mariage, avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veullent se prendre pour mari et pour femme ; chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement, déclarons au nom de la loi que les dits Jean Joseph Lerange et Marie Judieth Dumont, sont unis par le mariage, de tout quoi nous avons dressé acte en présence des sieurs Hubert Gavray, cultivateur, âgé de vingt sept ans, demeurant au dit Jevoumont, de Mathieu Joseph Warnotte, maréchal ferrant, âgé de vingt trois ans, de Henri Joseph Gaye, appariteur, âgé de quarante un ans, et de Nicolas Arnold Delrée, propriétaire, âgé de cinquante trois ans, demeurants à Theux, et après avoir reçu lecture du présent acte, ont les contractants, les père et mère de la contractante et les quatre témoins signé avec nous.
M 26/10/1826 Lambert Joseph LONAY et Marie Thérèse JASON (n°19bis)
L’An mil huit cent vingt six, du mois d’octobre le vingt sixième jour, à onze heures du matin, par devant Nous, Walthère Lecomte, Bourgmestre de la commune de Theux, canton, de Spa, district de Verviers, province de Liège, faisant les fonctions d’officier de l’état civil en l’absence de mon assesseur délégué à cet effet, sont comparus en notre maison commune et publiquement le sieur Lambert Joseph Lonay, soldat dans la troisième compagnie, bataillon de dépôt, de la treizième afdeeling d’infanterie en garnison à Arnhem, âgé de trente neuf ans, six mois, né dans la commune de Villers-le-temple, le trois mai mil sept cent quatre vingt sept, comme il est constaté par l’extrait de son acte de Naissance délivré le quinze mai mil huit cent vingt cinq, par monsieur g. Billon, premier échevin délégué à l’état civil du dit Villers le temple, majeur, fils des défunts Lambert Lonay et Anne Joseph Fouarge, décédés au dit Villers-le-temple le premier le douze avril an mil sept cent nonante huit, la seconde le dix sept vendémiaire an douze, ère républicain, correspondant au dix octobre mil huit cent trois, comme il est également constaté par les extraits de leurs actes de décès, délivré le vingt sept septembre mil huit cent vingt deux, par Monsieur Billon Erenuick, maire adjoint dudit Villers le temple, lequel nous a remis la permission lui délivrée le vingt sept septembre dernier, par Monsieur le colonel commandant la troisième afdeeling d’infanterie susdite, qui l’autorise à contracter mariage.
Et, Marie Thérèse Jason, cultivatrice, âgée de vingt huit ans, huit mois et dix huit jours, demeurant à Juslenville, cette commune, née au même lieu le vingt huit pluviose an six de la république française, correspondant au vingt huit février mil sept cent quatre vingt dix huit, comme il en conste par me registre aux actes de naissance de cette commune pour la même année, majeure fille du sieur, Hubert Jason, cultivateur et de Margueritte Joseph Jason, ménagère, ci présente et consentante, demeurants au dit Juslenville.
Lesquels nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont les publications ont été faites devant la principale porte d’entrée de notre maison commune les dimanches huit et quinze de ce mois aux deux heures de relevée. Aucune opposition au dit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à leur réquisition et après avoir donné lecture de toutes les pièces ci-dessus mentionnées et du chapitre six du titre du code civil intitulé du mariage et avoir reçu la déclaration sermentelle du contractant et des quatre témoins, qu’il n’a plus ni aïeuls ni aïeules tant paternels que maternels pour consentir à son mariage, avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veullent se prendre pour mari et pour femme ; chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement, déclarons au nom de la loi que les dits Lambert Joseph Lonay et Marie Thérèse Jason, sont unis par le mariage, de tout quoi nous avons dressé acte en présence des sieurs Hubert François Jason cultivateur, âgé de quarante sept ans, demeurant au dit Juslenville, frère de la contractante, de Henri Joseph Gaye, appariteur, âgé de quarante deux ans, de Jean Lambert Depresseux, garde forestier, âgé de soixante sept ans, de Jean Lambert Depresseux, tisserand, âgé de vingt trois ans, demeurants à Theux, et après avoir reçu lecture du présent acte, ont le contractant et les quatre témoins signé avec nous, la contractante et les père et mère de la contractante ont déclaré ne savoir le faire.
M 04/12/1826 Jean Lambert HOUBEAU et Marie Elisabeth JEHIN (n°24)
L’An mil huit cent vingt six, du mois de décembre le quatrième jour, à cinq heures de relevée, par devant Nous, Constantin Albert de Marteau, premier assesseur délégué aux fonctions d’officier de l’état civil de la commune de Theux, canton, de Spa, district de Verviers, province de Liège, sont comparus en notre maison commune et publiquement le sieur Jean Lambert Houbeau, cultivateur, âgé de trente quatre ans, demeurant à Theux, né au même lieu le trois juillet an mil sept cent nonante trois, comme il en conste par le registre aux actes de naissances de cette commune, majeur, fils d’Etienne Houbeau décédé au dit Theux, le vingt trois octobre mil huit cent dix huit, comme il en conste également par le registre aux actes de décès de cette commune pour la même année et de Margueritte Jehin, ménagère, demeurant au dit Theux, ci présente et consentante.
Lequel a justifié d’avoir satisfait à ses obligations sous le rapport de la milice nationale conformément au vœu de la loi du huit janvier mil huit cent dix sept.
Et Marie Elisabeth Jehin, ménagère, âgée de trente quatre ans, huit mois, demeurant à Juslenville, cette commune, née au dit Theux, le onze mars, an mil sept cent quatre vingt douze, comme il en conste également par le registre aux actes de naissance de cette commune, veuve d’Adam François Jason, décédé au dit Juslenville le vingt quatre juin an mil huit cent vingt deux, comme il en conste aussi par le registre aux actes de décès pour la même année, majeure, fille du sieur Guillaume Joseph Jehin, décédé au prédit Theux, le dix neuf février an mil huit cent et onze, comme il en conste aussi par le registre aux actes de décès pour la même année et de Marie Elisabeth Benoit, bouchère, ci présente et consentante, demeurant au susdit Theux,
Lesquels nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont les publications ont été faites devant la principale porte d’entrée de notre maison commune les dimanches dix neuf et vingt six novembre dernier aux deux heures de relevée. Aucune opposition au dit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à leur réquisition et après avoir donné lecture de toutes les pièces ci-dessus mentionnées et du chapitre six du titre du code civil intitulé du mariage, avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veullent se prendre pour mari et pour femme ; chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement, déclarons au nom de la loi que les dits Jean Lambert Houbeau et Marie Elisabeth Jehin, sont unis par le mariage. De tout quoi nous avons dressé acte en présence des sieurs Etienne Joseph Houbeau, cultivateur, âgé de trente six ans, frère du contractant, demeurant à Theux, de Jean Michel Jehin, boucher, âgé de cinquante deux ans, demeurant à Theux, d’Antoine Joseph Jehin, cultivateur, âgé de quarante quatre ans, frères de la contractante, et de Orban Joseph Baiwir, boucher, âgé de trente deux ans, beau frère de la contractante, demeurant au dit Theux, et après avoir reçu lecture du présent acte, ont les contractants, la mère du contractant et Etienne Joseph Houbeau, un des témoins, signé avec nous, les trois autres témoins et la mère de la contractante ont déclaré ne savoir le faire.
M 06/05/1827 Guillaume Joseph MOSBEU et Margueritte Joseph JASON (n°10)
L’An mil huit cent vingt sept, du mois de mai le sixième jour, à neuf heures du matin, par devant Nous, Constantin Albert de Marteau, premier assesseur délégué aux fonctions d’officier de l’état civil de la commune de Theux, canton, de Spa, district de Verviers, province de Liège, sont comparus en notre maison commune et publiquement le sieur, Guilleaume Joseph Mosbeu, ouvrier de fabrique, âgé de vingt six ans, dix mois, demeurant à Mangombroux, commune de Polleur, né au même lieu, le vingt neuf thermidor an neuf de la République Française, correspondant au premier août mil huit cent un, comme il en conste par l’extrait de son acte de naissance, délivré le quatre ce mois par Monsieur Louis A. Caro, Assesseur délégué à l’état civil dudit Polleur, majeur, fils du sieur Guillaume Mosbeu, décédé au dit Mangombroux le deux nivose an treize aussi ère républicain, correspondant au vingt trois décembre mil huit cent cinq, comme il en conste également par l’extrait de son acte de décès, délivré le quatre du courant, par le dit Monsieur Louis A. Caro et de Marie Catherine Ernotte, ménagère demeurant au prédit Mangombroux ci présente et consentante.
Et Margueritte Joseph Jason, cultivatrice, âgée de vingt six ans, demeurant à Juslenville, cette commune, née au même lieu, le douze floréal an neuf de la République Française, correspondant au deux mai mil huit cent un, comme il est constaté par le registre aux actes de naissances de cette commune pour la même année, Majeure fille du sieur Hubert Jason, cultivateur et de Margueritte Jason, ménagère, demeurant au dit Juslenville, ci présents et consentants.
Lesquels nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont les publications ont été faites devant la principale porte d’entrée de notre maison commune les dimanches quinze et vingt deux avril dernier aux deux heures de relevée et au dit Polleur les mêmes jours, comme il en conste par le certificat de publication des promesses de mariage délivré le quatre de ce moi par le prédit Monsieur Louis A. Caro.. Aucune opposition au dit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à leur réquisition et après avoir donné lecture de toutes les pièces ci-dessus mentionnées et du chapitre six du titre du code civil intitulé du mariage, avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veullent se prendre pour mari et pour femme ; chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement, déclarons au nom de la loi que les dits Guilleaume Joseph Mosbeu et Margueritte Joseph Jason sont unis par le mariage. De tout quoi nous avons dressé acte en présence des sieurs Jean Joseph Monjardin, tailleur d’habits, âgé de soixante deux ans, de Jean Lambert Depreseux, cordonnier, âgé de vingt un ans, demeurants à Theux, de Jean Joseph Hendrick fileur, âgé de vingt deux ans, demeurant à Stembert et de Pierre Louis Gilbert, fileur, âgé de vingt trois ans, demeurant au dit Stembert, et après avoir reçu lecture du présent acte, ont le père de la contractante, Jean Joseph Monjardin et Jean Lambert Depresseux, deux des témoins signé avec nous, la mère de la contractante et les deux autres témoins ont déclaré ne savoir le faire.
M 23/06/1827 Nicolas Pierre Joseph GUSTIN et Jeanne Joseph ETIENNE (n°15)
L’An mil huit cent vingt sept, du mois de juin le vingt troisième jour, à onze heures du matin, par devant Nous, Constantin Albert de Marteau, premier assesseur délégué aux fonctions d’officier de l’état civil de la commune de Theux, canton, de Spa, district de Verviers, province de Liège, sont comparus en notre maison commune et publiquement Nicolas Pierre Joseph Gustin, journalier, âgé de vingt cinq ans, domicilié à Juslenville, village de cette commune, y né le vingt cinq germinal an dix de la république française, correspondant au quinze avril mil huit cent deux, / : comme il est constaté par les registres dé l’état civil de cette commune, majeur, fils légitime de Nicolas Gustin, journalier, âgé de soixante six ans, domicilié au dit Juslenville, ici présent et consentant, et de Marie Barbe Closset, en son vivant fileuse, domiciliée au Pouillou Fourneau, hameau de cette commune, y décédé le vingt du mois de février, de l’an mil huit cent et huit, comme il est constaté par les registres de l’état civil de cette commune.
Lequel futur a justifié d’avoir satisfait à ses obligations sur la milice nationale conformément au vœu de la loi du huit janvier mil huit cent dix sept.
Et Jeanne Joseph Etienne, journalière, âgée de dix neuf ans, domiciliée à Juslenville, commune de Theux, née à Ensival le quatre du mois de Juillet de l’an mil huit cent et sept, comme il est constaté par les registres de l’Etat civil de la commune d’Ensival, comme en conste de son extrait d’acte de naissance délivré le vingt deux du mois de mai dernier par Monsieur Delrez, Bourgmestre de ladite commune, mineure fille légitime de Jean Servais Etienne, ouvrier de Fabrique, âgé de cinquante six ans, domicilié au dit Juslenville, ici présent et consentant et Marie Anne Defossé, ménagère, âgée de quarante six ans, domiciliée au même lieu, également présente et consentante.
Lesquels nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont les publications ont été faites devant la principale porte d’entrée de notre maison commune saboir : la première le dix du mois de juin courant aux deux heures de relevée, et la seconde le dix sept du même mois au même lieu et à la même heure. Aucune opposition au dit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à leur réquisition et après avoir donné lecture de toutes les pièces ci-dessus mentionnées et du chapitre six du titre du code civil intitulé du mariage, nous avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veullent se prendre pour mari et pour femme ; chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement, déclarons au nom de la loi que Nicolas Pierre Joseph Gustin et Jeanne Joseph Etienne, sont unis par le mariage, de tout quoi nous avons dressé acte en présence des Servais Jacob, tisserand, âgé de vingt quatre ans, domicilié à Theux, de Jean Joseph Bernardin, fileur, âgé de vingt deux ans, demeurant à Juslenville, cette commune, de Pierre Gustin, journalier, âgé de vingt un ans, demeurant à Theux, et de Jean Lambert Depresseux, tisserand, âgé de trente trois ans, demeurant au dit Theux, le premier cousin germain avec le contractant, et le troisième témoin frère du contractant, et les deux autres, ni parents ni alliés avec le contractant, et après avoir reçu lecture du présent acte, les témoins ont signé avec nous, à l’exception de Pierre Gustin, deuxième témoin, ainsi que les parties contractantes et consentantes qui ont déclaré ne savoir le faire.
M 28/07/1827 Pierre Joseph DEMAIREUX et Margueritte Louise NANTULLE (n°18)
L’An mil huit cent vingt sept, du mois de juillet le vingt huitième jour, à six heures du matin, par devant Nous, Constantin Albert de Marteau, premier assesseur délégué aux fonctions d’officier de l’état civil de la commune de Theux, canton, de Spa, district de Verviers, province de Liège, sont comparus en notre maison commune et publiquement le sieur Pierre Joseph Demaireux, journalier, âgé de trente neuf ans, deux mois et demi, demeurant à Theux, né à Herve, le dix mai an mil sept cent quatre vingt huit, comme il en conste par l’extrait de son acte de naissance, délivré le trente septembre an mil huit cent dix neuf, par Monsieur J.H.J. Delveur, Bourgmestre, majeur fils des défunts Servais Demaireux et de Barbe Rensonnet, décédé à Battice, le premier le trente octobre mil huit cent treize, la seconde le trois du mois de novembre aussi mil huit cent treize, comme il en conste par les extraits de leurs actes de décès délivrés le dix neuf novembre mil huit cent dix neuf, par Monsieur Théodore Penay (ou Lenay ?), maire dudit Battice.
Et Margueritte Louise Nantulle, ménagère, âgée de quarante cinq ans, onze mois, demeurant à Spixhe, né au même lieu, le vingt deux septembre mil sept cent quatre vingt un, comme il en conste parle registre aux actes de naissance de cette paroisse reposant dans les archives de cette commune, majeure, fille des défunts Nicolas François Nantulle, et d’Anne Isabelle Renard, décédés au dit Spixhe, cette commune, le premier, le vingt huit juin mil huit cent treize, la seconde le onze décembre mil huit cent dix neuf, comme il est également constaté par le registre aux actes de décès de cette commune pour les mêmes années.
Lesquels nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont les publications ont été faites devant la principale porte d’entrée de notre maison commune les dimanches deux et neuf juillet courant aux deux heures de relevée. Aucune opposition au dit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à leur réquisition et après avoir donné lecture de toutes les pièces ci-dessus mentionnées et du chapitre six du titre du code civil intitulé du mariage, et avoir reçu la déclaration sermentelle des contractants et des quatre témoins, qu’ils n’ont plus ni Aïeuls ni aïeules tant paternels que maternels pour consentir à leur mariage, avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veullent se prendre pour mari et pour femme ; chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement, déclarons au nom de la loi que les dits Pierre Joseph Demaireux et Margueritte Louise Nantulle sont unis par le mariage, et aussitôt, les dits époux ont déclaré qu’il est né d’eux un enfant du sexe féminin inscrit sur les registre de l’état civil de cette commune, le trois septembre mil huit cent treize, sous les noms et prénoms d’Angélique Nantulle, laquelle ils reconnaissent pour leur fille, de tout quoi nous avons dressé acte en présence des sieurs Martin Hubert Caro, propriétaire, âgé de trente trois ans, de Jean Lambert Depresseux, tisserand, âgé de trente quatre ans, de Lambert Antoine Depresseux, cordonnier, âgé de quarante neuf ans et de Henri Joseph Gaye, appariteur, âgé de quarante trois ans, demeurants à Theux, et après voir reçu lecture du présent acte, ont les contractants et trois des témoins signé avec nous, l’autre témoin, Lambert Antoine Depresseux, a déclaré ne savoir le faire.
M 19/09/1827 Dieudonné Joseph DESSAUCY et Marie Ida Joseph PIRNAY (n°23)
L’An mil huit cent vingt sept, du mois de septembre le dix neuvième jour, à cinq heures du soir, par devant Nous, Constantin Albert de Marteau, premier assesseur délégué aux fonctions d’officier de l’état civil de la commune de Theux, canton, de Spa, district de Verviers, province de Liège, sont comparus en notre maison commune et publiquement le sieur, Dieudonné Joseph Dessaucy, cultivateur, demeurant à Sassor cette commune, né au même lieu le quatorze ventose an six ère républicain, correspondant au quatre mars mil sept cent nonante huit, comme il est constaté par le registre aux actes de naissance de cette commune pour la même année, fils majeur du sieur Jérôme Joseph Dessaucy, cultivateur demeurant au dit Sassor, ci présent et consentant et de Jeanne Elisabeth Boniver, décédée au même lieu, le seize novembre mil huit cent neuf, comme il est également constaté par le registre aux actes de décès de cette commune.
Lequel a justifié d’avoir satisfait à ses obligations sous le rapport de la milice nationale conformément au vœu de la loi du huit janvier mil huit cent dix sept.
Et Marie Ida Joseph Pirnay, cultivatrice, âgée de vingt cinq ans, huit mois, demeurant à Theux, née au même lieu le vingt trois nivöse an dix, ère républicain, correspondant au treize janvier mil huit cent deux, comme il est constaté par le registre aux actes de naissances de cette commune, pour la même année, fille majeure du sieur Jean Nicolas Pirnay cultivateur et de Marie Margueritte Pascal Bottin, ménagère, ci présents et consentants, demeurants à Theux.
Lesquels nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont les publications ont été faites devant la principale porte d’entrée de notre maison commune les dimanches neuf et seize de ce mois aux deux heures de relevée. Aucune opposition au dit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à leur réquisition et après avoir donné lecture de toutes les pièces ci-dessus mentionnées et du chapitre six du titre du code civil intitulé du mariage, avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veullent se prendre pour mari et pour femme ; chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement, déclarons au nom de la loi que les dits Dieudonné Joseph Dessaucy et Marie Ida Joseph Pirnay sont unis par le mariage, de tout quoi nous avons dressé acte, en présence des sieurs Louis Nicolas Pirnay, cordonnier, âgé de trente deux ans, de Martin Pensée Pirnay, tailleur d’habits, âgé de vingt sept ans, frères de la contractante, demeurants à Juslenville, cette commune, de Théodore Joseph Derive, ouvrier de fabrique, âgé de vingt sept ans, demeurant au dit Juslenville, et de Henri Joseph Gaye, appariteur, âgé de quarante trois ans, demeurant à Theux, et après avoir reçu lecture du présent acte, ont les contractants, le père du contractant, le père de la contractante et les quatre témoins signé avec nous, la mère de la contractante a déclaré ne savoir le faire.
M 25/09/1827 Pascal Joseph JASON et Marie Hubertine DALCETTE (n°25)
L’An mil huit cent vingt sept, du mois de septembre le vingt cinquième jour, à une heure de relevée, par devant Nous, Constantin Albert de Marteau, premier assesseur délégué aux fonctions d’officier de l’état civil de la commune de Theux, canton, de Spa, district de Verviers, province de Liège, sont comparus en notre maison commune et publiquement le sieur, Pascal Joseph Jason, journalier, âgé de quarante six ans, cinq mois, demeurant à Theux, né au même lieu, le vingt neuf avril mil sept cent quatre vingt un, comme il est constaté par le registre aux actes de naissance de cette paroisse reposant dans les archives de cette commune, veuf de Marie Margueritte Joseph Moureau, décédée à Theux le sept mai mil huit cent vingt trois, comme il est aussi constaté par le registre aux actes de décès pour la même année, fils majeur des défunts Jean Noé Jason et Catherine Claire Pouhaut, décédé au dit Theux, le premier le vingt un mai an mil sept cent quatre vingt seize, la seconde le seize avril mil huit cent dix, comme il est également constaté par le registre aux actes de décès de cette commune,
Et Marie Hubertine Dalcette, servante, âgée de trente neuf ans, dix mois, demeurant à Pepinster, cette commune, né à Odeigne, Grand Duché de Luxembourg, le vingt trois novembre mil sept cent quatre vingt sept comme il en conste par l’extrait de son acte de naissance déliré le neuf juillet dernier par Monsieur Jean Sevrin Delveaux, Bourgmestre du dit Odeigne, fille majeure des défunts Jean Hubert Dalcette et Anne Catherine Jeunejean, décédés audit Odeigne le premier le vingt quatre juin mil huit cent onze, la seconde le douze février mil huit cent vingt quatre, comme il en conste aussi par les extraits de leurs actes de décès délirés le neuf juillet dernier, par le dit Monsieur Jean Séverin Delveaux.
Lesquels nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont les publications ont été faites devant la principale porte d’entrée de notre maison commune les dimanches neuf et seize de ce mois aux deux heures de relevée. Aucune opposition au dit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à leur réquisition et après avoir donné lecture de toutes les pièces ci-dessus mentionnées et du chapitre six du titre du code civil intitulé du mariage et avoir reçu la déclaration sermentelle des contractants et des quatre témoins, qu’ils n’ont plus ni Aïeuls ni aïeules tant paternels que maternels pour consentir à leur mariage, avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veullent se prendre pour mari et pour femme ; chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement, déclarons au nom de la loi que les dits Pascal Joseph Jason et Marie Hubertine Dalcette sont unis par le mariage, de tout quoi nous avons dressé acte en présence des sieurs Jean Joseph Dalcette cultivateur, âgé de quarante deux ans, Pierre Hubert Dalcette, cultivateur, âgé de quarante six ans, frères de la contractante, demeurants à Odeigne, de Jean Nicolas Dyon, journalier, âgé de quarante six ans, beau frère par alliance du contractant demeurant à Spixhe, cette commune, et de Henri Joseph Gaye, appariteur, âgé de quarante trois ans, demeurants à Theux et après avoir reçu lecture du présent acte, ont les dits Pierre Hubert Dalcette et Gaye signés avec nous, les contractants et les deux autres témoins ont déclaré ne savoir le faire.
M 10/10/1827 Noël Joseph GOHY et Marie Thérèse Joseph PONDANT (n°28)
L’An mil huit cent vingt sept, du mois d’octobre le dixième jour, à onze heures du matin, par devant Nous, Walthère Lecomte, bourgmestre, officier de l’état civil de la commune de Theux, canton, de Spa, district de Verviers, province de Liège, sont comparus en notre maison commune et publiquement le sieur Noël Joseph Gohy, cultivateur, âgé de vingt sept ans, dix mois, demeurant à rondehaye, cette commune, née au même lieu, le cinq nivose an huit, ère républicain, correspondant au vingt quatre décembre mil sept cent nonante neuf, comme il est constaté par le registre aux actes de naissances de cette commune pour la même année, fils majeur du sieur Arnold Joseph Gohy, cultivateur et de Marie Lisihe, ménagère demeurants au dit Rondehaye, ci présents et consentants.
Lequel a justifié d’avoir satisfait à ses obligations sous le rapport de la milice nationale conformément au vœu de la loi du huit janvier mil huit cent dix sept.
Et Marie Thérèse Joseph Pondant, ouvrière de fabrique, âgé de vingt cinq ans, sept mois, demeurant à Juslenville, cette commune, née au même lieu, le seize ventôse an dix de la république française, correspondant au six mars mil huit cent deux, comme il est constaté par le registre aux actes de naissances de cette commune, Majeure fille des défunts Jean François Pondant et Marie Thérèse Jason, décédée au dit Juslenville, le premier le treize juin mil huit cent vingt cinq, la seconde le vingt décembre mil huit cent treize comme il est également constaté par le registre aux actes de décès de cette commune pour les mêmes années.
Lesquels nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont les publications ont été faites devant la principale porte d’entrée de notre maison commune les dimanches vingt trois et trente septembre dernier aux deux heures de relevée. Aucune opposition au dit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à leur réquisition et après avoir donné lecture de toutes les pièces ci-dessus mentionnées et du chapitre six du titre du code civil intitulé du mariage et avoir reçu la déclaration sermentelle de la contractante et des quatre témoins, qu’elle n’a plus ni aïeuls ni aïeules tant paternels que maternels pour consentir à son mariage, avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veullent se prendre pour mari et pour femme ; chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement, déclarons au nom de la loi que les dits Noël Joseph Gohy et Marie Thérèse Joseph Pondant, sont unis par le mariage, de tout quoi nous avons dressé acte en présence des sieurs Bertrand Joseph Gohy cultivateur, âgé de trente ans, demeurant au dit Rondehaye, de Jean Lambert Depresseux, tisserand, âgé de trente quatre ans, de Jean Joseph Warnotte, maréchal Ferrant, âgé de vingt huit ans et de Mathieu Joseph Warnotte, maréchal Ferrant, âgé de vingt cinq ans, demeurants à Theux, et après avoir reçu lecture du présent acte, ont la contractante et les quatre témoins signé avec nous, le contractant et ses père et mère ont déclarés ne soir le faire.
M 13/11/1827 Jean Joseph FOULON et Marie Isabel GOHY (n°32)
L’An mil huit cent vingt sept, du mois de novembre le treizième jour, à trois heures de relevée, par devant Nous, Constantin Albert de Marteau, premier assesseur délégué aux fonctions d’officier de l’état civil de la commune de Theux, canton, de Spa, district de Verviers, province de Liège, sont comparus en notre maison commune et publiquement le sieur, Jean Joseph Foulon, domestique, âgé de vingt six ans, cinq mois, demeurant à Theux, né à La Reid le dix sept prairéal an neuf de la république française correspondant au six juin mil huit cent un, comme il en conste par l’extrait de son acte de naissance déliré le sept octobre dernier par Monsieur J.H. Leroy, Assesseur dudit Reid, fils majeur du sieur François Joseph Foulon, journalier, et de Marie Anne Roger, ménagère demeurant au dit Reid, ci présents et consentants ;
Lequel a justifié d’avoir satisfait à ses obligations sous le rapport de la milice nationale conformément au vœu de la loi du huit janvier mil huit cent dix sept.
Et Marie Isabel Gohy, cultivatrice, âgée de quarante six ans, deux mois, demeurant à Mont, cette commune, née au même lieu, le vingt neuf août mil sept cent quatre vingt un, comme il est constaté par le registre aux actes de naissance de cette commune, fille majeure des défunts Jean Jacques Gohy, et Marie Isabel Jehin, décédés au dit Mont, le premier le vingt quatre novembre mil huit cent vingt trois la seconde le sept mars mil huit cent quatorze, comme il est également constaté par les registres aux actes de décès de cette commune, pour les mêmes années,
Lesquels nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont les publications ont été faites devant la principale porte d’entrée de notre maison commune les dimanches ingt huit octobre dernier et quatre du courant aux deux heures de relevée. Aucune opposition au dit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à leur réquisition et après avoir donné lecture de toutes les pièces ci-dessus mentionnées et du chapitre six du titre du code civil intitulé du mariage et avoir reçu la déclaration sermentelle de la contractante et des quatre témoins, qu’elle n’a plus ni aïeuls ni aïeules tant paternels que maternels pour consentir à son mariage, avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veullent se prendre pour mari et pour femme ; chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement, déclarons au nom de la loi que les dits Jean Joseph Foulon et Marie Isabel Gohy, sont unis par le mariage, de tout quoi nous avons dressé acte en présence des sieurs Jean Jacques Gohy cultivateur, âgé de quarante trois ans, frère de la contractante, de Jean Jacques Simus, propriétaire, âgé de cinquante huit ans, cousin germain de la contractante, de Jean Paul Simus, cultivateur, âgé de vingt trois ans, cousin issu germain de la contractante, demeurants au prédit Mont, et de Henri Joseph Gaye, appariteur, âgé de quarante trois ans, demeurants à Theux, et après avoir reçu lecture du présent acte, ont la contractante et les quatre témoins signé avec nous, le contractant et ses père et mère ont déclaré ne savoir le faire, le mot assesseur entreligné est approuvé.
M 28/11/1827 Jean Michel TISLENNE et Marie Barbe BONIVER (n°36)
L’An mil huit cent vingt sept, du mois de novembre le vingt huitième jour, à cinq heures du soir, par devant Nous, Constantin Albert de Marteau, premier assesseur délégué aux fonctions d’officier de l’état civil de la commune de Theux, canton, de Spa, district de Verviers, province de Liège, sont comparus en notre maison commune et publiquement le sieur, Jean Michel Tislenne, cultivateur, âgé de quarante trois ans, dix mois, demeurant à Juslenville, cette commune, née au même lieu, le vingt quatre février mil sept cent quatre vingt quatre, comme il est constaté par le registre aux actes de naissance de cette commune, fils majeur des défunts Jean Tislenne et de Marie Anne Barthelemi, décédés au dit Juslenville, le premier, le treize juillet mil huit cent treize, la seconde le seize juin mil huit cent vingt, comme il est également constaté par les registres aux actes de décès de cette commune pour les mêmes années. Lequel a justifié d’avoir satisfait à ses obligations sous le rapport de la milice nationale conformément au vœu de la loi.
Et Marie Barbe Boniver, ménagère, âgée de quarante six ans, huit mois demeurant au dit Juslenville, née à Theux, le huit avril mil sept cent quatre vingt un, comme il est constaté par le registre aux actes de naissances de cette commune, veuve de Jean Nicolas Jason, décédé au prédit Juslenville, le trois décembre dernier, comme il est aussi constaté par le registres aux actes de décès pour la même année, fille majeure de feu Mathieu Joseph Boniver, décédé au susdit Theux, le dix huit avril mil huit cent vingt quatre, comme il est constaté par le registre aux actes de décès pour la même année et d’Anne Marie Sottrez, ménagère, ci présente et consentante.
Lesquels nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont les publications ont été faites devant la principale porte d’entrée de notre maison commune les dimanches dix huit et vingt cinq de ce mois aux deux heures de relevée. Aucune opposition au dit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à leur réquisition et après avoir donné lecture de toutes les pièces ci-dessus mentionnées et du chapitre six du titre du code civil intitulé du mariage et avoir reçu la déclaration sermentelle du contractant et des quatre témoins, qu’il n’a plus ni aïeuls ni aïeules tant paternels que maternels pour consentir à son mariage, avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veullent se prendre pour mari et pour femme ; chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement, déclarons au nom de la loi que les dits Jean Michel Tislenne et Marie Barbe Boniver sont unis par le mariage, de tout quoi nous avons dressé acte en présence des sieurs Hubert François Jason, cultivateur, âgé de quarante neuf ans, beau frère du contractant, demeurant au dit Juslenville, de Pierre François Delrez, cultivateur, âgé de quarante sept ans, demeurant à Pepinster, de Gilles Joseph Jurdan, ouvrier de fabrique, âgé de trente six ans, demeurant au dit Juslenville, et d’Adrien Alexandre Menus, sans profession, âgé de vingt quatre ans, demeurant à Theux, et après avoir reçu lecture du présent acte, ont les contractants, la mère de la contractante et les quatre témoins signé avec nous
M 09/01/1828 Lambert Hubert MOTTET et Margueritte BODEUX (n°03)
L’An mil huit cent vingt huit, du mois de janvier le neuvième jour, à deux heures et demie après midi, par devant Nous, Walthère Lecomte, bourgmestre, officier de l’état civil de la commune de Theux, canton, de Spa, district de Verviers, province de Liège, sont comparus en notre maison commune et publiquement le sieur, Lambert Hubert Mottet boutiquier, âgé de cinquante quatre ans, demeurant à Theux, né au même lieu, le vingt huit novembre, an mil sept cent septante trois, comme il est constaté par le registre aux actes de naissances de cette paroisse reposant dans les archives de cette commune, veuf de Marie Reine Thomson, décédée au dit Theux le vingt cinq juin dernier, comme il est aussi constaté par le registre aux actes de décès pour la même année, fils majeur des défunts, Lambert Joseph Mottet, et de Marie Joseph Léonard, décédés au prédit Theux, le premier le seize novembre an mil sept cent quatre vingt six, la seconde, le vingt quatre février mil huit cent huit, comme il est également constaté par les registres aux actes de décès de cette commune pour les mêmes années.
Et Margueritte Bodeux, servante, âgée de trente six ans, demeurant à Verviers, né à grand ménil, le quatorze décembre mil sept cent nonante un, comme il en conste par l’extrait de son acte de naissance, délivré le deux de ce mois, par Monsieur F.J. Lecart, assesseur dudit Grand Ménil, fille majeure naturelle de Marie Joseph Bodeux, ménagère demeurant à Comblain au pont, ci présente et consentante.
Lesquels nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont les publications ont été faites devant la principale porte d’entrée de notre maison commune les dimanches vingt trois et trente décembre dernier aux deux heures de relevée et au dit Verviers, les trente décembre dernier et six du courant, comme il en conste par le certificat de publication des promesses de mariage délivré aujourd’hui par le dit J.F.A. Cornet, assesseur, officier d l’état civil dudit Verviers.
Aucune opposition au dit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à leur réquisition et après avoir donné lecture de toutes les pièces ci-dessus mentionnées et du chapitre six du titre du code civil intitulé du mariage, et avoir reçu la déclaration sermentelle du contractant et des quatre témoins qu’il n’a plus ni aïeuls ni aïeules tant paternels que maternels pour consentir à son mariage, avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veullent se prendre pour mari et pour femme ; chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement, déclarons au nom de la loi que les dits Lambert Hubert Mottet et Margueritte Bodeux sont unis par le mariage. De tout quoi nous avons dressé acte en présence des sieurs Henri Lambert Beco, menuisier, âgé de vingt sept ans, de Henri Joseph Gaye, appariteur, âgé de quarante trois ans, de Jean Lambert Depresseux, tisserand, âgé de trente quatre ans, et de Jean Lambert Depresseux, cordonnier, âgé de vingt deux ans, demeurants à Theux, et après avoir reçu lecture du présent acte, ont les quatre témoins signé avec nous, les contractants et la mère de la contractante ont déclarés ne savoir le faire.
M 13/01/1828 Pierre Joseph FASSIN et Marie Claire LARDINOIS (n°06)
L’An mil huit cent vingt huit, du mois de janvier le treizième jour, à neuf heures du matin, par devant Nous, Walthère Lecomte, bourgmestre, officier de l’état civil de la commune de Theux, canton, de Spa, district de Verviers, province de Liège, sont comparus en notre maison commune et publiquement le sieur, Pierre Joseph Fassin, fileur, âgé de vingt deux ans, six mois, demeurant à Verviers, né à Lambermont, le vingt six messidor an treize, ère républicain, correspondant au quinze juillet mil huit cent cinq, come il en conste par l’extrait de son acte de naissance délivré le quinze décembre dernier, par Monsieur F.J. Fassin, Bourgmestre dudit Lambermont, fils mineur de François Joseph Fassin, tisserand, demeurant à Verviers, ci présent et consentant, et de Marie Catherine Mambourg, ménagère, demeurant au dit Verviers.
Lequel a justifié d’avoir satisfait à ses obligations sous le rapport de la milice nationale conformément au vœu de la loi du huit janvier mil huit cent dix sept.
Et Marie Claire Lardinois, ménagère, âgée de vingt deux ans, huit mois, demeurant à Juslenville, cette commune, née au même lieu le dix germinal an treize, ère républicain, correspondant au trente un mars mil huit cent cinq, comme il est constaté par le registre aux actes de naissances de cette commune, pour la même année, fille mineure de Jean Jacques Lardinois, tonnelier et d’Anne Marie Toubon, ménagère, demeurants au dit Juslenville, ci présents et consentants.
Lesquels nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont les publications ont été faites devant la principale porte d’entrée de notre maison commune les dimanches trente décembre dernier et six du courant aux deux heures de relevée et au dit Verviers les mêmes jours, comme il en conste, par le certificat de publications des promesses réciproques de mariage, délivré le neuf de ce mois par monsieur, J.F.B. Cornet, échevin, officier de l’état civil dudit Verviers.
Aucune opposition au dit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à leur réquisition et après avoir donné lecture de toutes les pièces ci-dessus mentionnées et du chapitre six du titre du code civil intitulé du mariage, avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veullent se prendre pour mari et pour femme ; chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement, déclarons au nom de la loi que les dits Pierre Joseph Fassin et Marie Claire Lardionois, sont unis par le mariage, de tout quoi nous avons dressé acte en présence des sieurs Jean Baptiste Fassin, tisserand, âgé de vingt deux ans, demeurant à Verviers, cousin germain du contractant, de Noé Joseph Rivoux, maître tisserand, âgé de cinquante ans, de Jean François Boniver, mineur, âgé de quarante un ans, demeurants à Theux, et de Louis Nicolas Pirnay, cordonnier, âgé de trente ans, demeurant au dit Juslenville, et après avoir reçu lecture du présent acte, ont la contractante ses père et mère et deux des témoins signé avec nous, le contractant, son père et Noé Joseph Rivoux et Jean Baptiste Fassin ont déclaré ne savoir le faire.
M 28/01/1828 Pierre François LECLOUTIER et Marie Agnès WARRAND (n°08)
L’An mil huit cent vingt huit, du mois de janvier le vingtième jour, à huit heures du matin, par devant Nous, Constantin Albert de Marteau, premier assesseur délégué aux fonctions d’officier de l’état civil de la commune de Theux, canton, de Spa, district de Verviers, province de Liège, par arrêté de Monsieur le Bourgmestre en date du vingt six octobre mil huit cent vingt cinq, sont comparus en notre maison commune et publiquement le sieur, Pierre François Lecloutier, journalier, âgé de cinquante neuf ans, onze mois, demeurant à Theux, né au même lieu le vingt deux février mil sept cent soixante huit, comme il en conste par le registre aux actes de naissances de cette paroisse reposant dans les archives de cette commune, veuf en premières noces de Marie Anne Beaumont, décédée à Juslenville, cette commune, le onze janvier mil huit cent vingt et en secondes noces de Marie Thérèse Orban, décédée à Theux le quatorze janvier mil huit cent vingt sept, comme il est constaté par les registres aux actes de décès pour les mêmes années, fils majeur des défunts Jean Lecloutier, et Marie Jeanne Fassin, décédés au même lieu, le premier le vingt trois floréal an neuf ère républicain, correspondant au treize mai an mil huit cent et un, la seconde le huit février mil huit cent et dix.
Et Marie Agnès Warrand, journalière, âgée de cinquante ans, neuf mois, demeurant à Theux, née au même lieu, le huit mai mil sept cent septante sept, comme il est constaté par le registre aux actes de naissances de cette paroisse reposant dans les archives de cette commune, fille majeure des défunts Nicolas Warrand et Marie Louise Monjardin, décédés dans cette commune, le premier le dix février mil sept cent nonante trois, la seconde, le vingt trois thermidor, an sept, ère républicain, correspondant au dix août mil sept cent nonante huit, comme il est constaté par le registre aux actes de décès de cette commune pour les mêmes années,
Lesquels nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont les publications ont été faites devant la principale porte d’entrée de notre maison commune les dimanches six et treize de ce mois les aux deux heures de relevée. Aucune opposition au dit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à leur réquisition et après avoir donné lecture de toutes les pièces ci-dessus mentionnées et du chapitre six du titre du code civil intitulé du mariage, et avoir reçu la déclaration sermentelle des contractants et des quatre témoins qu’il n’a plus ni aïeuls ni aïeules, tant paternels que maternels pour consentir à leur mariage, avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veullent se prendre pour mari et pour femme, chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement, déclarons au nom de la loi que les dits Pierre François Lecloutier et Marie Agnès Warrand, sont unis par le mariage, de tout quoi nous avons dressé acte en présence des sieurs Jean Michel Adolphe Depresseux marchand tanneur, âgé de vingt neuf ans, de Ferdinand Joseph Boniver, platineur, âgé de quarante sept ans, de Jean Lambert Depresseux, tisserand, âgé de trente quatre ans, et de Lambert Antoine Depresseux, cordonnier, âgé de quarante neuf ans, demeurants à Theux, et après avoir reçu lecture du présent acte, ont les dits Jean Michel Adolphe Depresseux, Ferdinand Joseph Boniver et Jean Lambert Depresseux signé avec nous, les contractants et l’autre témoin ont déclaré ne savoir le faire.
M 30/01/1828 Pascal COUNESON et Marie Elisabeth DEMEUSE (n°10)
L’An mil huit cent vingt huit, du mois de janvier le trentième jour, à deux heures après midid, par devant Nous, Constantin Albert de Marteau, premier assesseur délégué aux fonctions d’officier de l’état civil de la commune de Theux, canton, de Spa, district de Verviers, province de Liège, sont comparus en notre maison commune et publiquement le sieur, Pascal Couneson, ouvrier de fabrique, âgé de trente huit ans, dix mois, demeurant à Pepinster, cette commune, né à Louvegnez, le onze avril an mil sept cent quatre vingt neuf, comme il est constaté par l’extrait de son acte de naissance qu’il a produit lors de son mariage avec Marie Margueritte Colard, avenu devant l’officier de l’état civil de cette commune, le six mai mil huit cent vingt deux, veuve de Marie Margueritte Colard, décédée dans cette commune de Sart le quatre novembre mil huit cent vingt trois, comme il en conste par l’extrait de son acte de décès délivré le treize janvier mil huit cent vingt huit par Monsieur Beaupain, Bourgmestre, du dit Sart, fils majeur des défunts Jacque Counson et Elisabeth Thomas, décédés au dit Louvegnez, le premier le vingt cinq janvier mil huit cent dix neuf, la seconde, la quatre mars mil huit cent neuf, comme il en conste par les extraits de leurs actes de décès qu’il a produit lors de son mariage mentionné ci-dessus.
Et Marie Elisabeth Demeuse, ménagère, âgée de trente six ans, dix mois, demeurant au dessus de Pouillou Fourneau, cette commune, née dans la commune de Soumagne, le treize avril mil sept cent quatre vingt onze, comme il en conste par l’extrait de son acte de naissance, délivré le dix hit du courant par Monsieur Henri Joseph Dessy, assesseur, officier de l’état civil, dudit Soumagne, fille majeure de feu Noël Demeuse, décédé à Malmédi le six septembre mil huit cent neuf, comme il en conste aussi par l’extrait de son acte de décès délivré le dix sept janvier dernier, par Monsieur Faymonville, officier de l’état civil du dit Malmedi et d’Isabelle Verdin, ménagère, ci présente et consentante demeurant au dit Pouillou Fourneau.
Lesquels nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont les publications ont été faites devant la principale porte d’entrée de notre maison commune les dimanches vingt et vingt sept de ce mois aux deux heures de relevée. Aucune opposition au dit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à leur réquisition et après avoir donné lecture de toutes les pièces ci-dessus mentionnées et du chapitre six du titre du code civil intitulé du mariage et avoir reçu la déclaration sermentelle du contractant et des quatre témoins qu’il n’a plus ni aïeuls ni aïeules, tant paternels que maternels pour consentir à son mariage, avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veullent se prendre pour mari et pour femme ; chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement, déclarons au nom de la loi que les dits Pascal Counson et Marie Elisabeth Demeuse sont unis par le mariage.
De tout quoi nous avons dressé acte en présence des sieurs Gilles Joseph Lechanoine, maître maçon, âgé de trente sept ans, de Jean Lambert Depresseux, cordonnier, âgé de vingt deux ans, de Mathieu Joseph Warnotte, maréchal ferrant, âgé de vingt cinq ans, demeurant à Theux et d’Antoine Jacque, cordonnier, âgé de soixante ans, demeurant à Pouillou Fourneau, cette commune, et après avoir reçu lecture du présent acte ont les quatre témoins signé avec nous, les contractants, et la mère de la contractante ont déclaré ne savoir le faire.
M 23/04/1828 Jean Baptiste BEAUVE et Marie Thérèse DECHENEUX (n°17)
L’An mil huit cent vingt huit, du mois d’avril le vingt troisième jour, à une heure après midi, par devant Nous, Constantin Albert de Marteau, premier assesseur délégué aux fonctions d’officier de l’état civil de la commune de Theux, canton, de Spa, district de Verviers, province de Liège, sont comparus en notre maison commune et publiquement le sieur, Jean Baptiste Beauve, charpentier, âgé de vingt six ans, quatre mois, demeurant à Juslenville, cette commune, né au même lieu le huit nivose an dix ère républicain, correspondant au vingt neuf décembre mil huit cent un comme il est constaté par le registre aux actes de naissance de cette commune, pour la même année, fils majeur de feu Jean Baptiste Beauve, décédé au dit Juslenville, le vingt quatre décembre mil huit cent vingt quatre, comme il est aussi constaté par le registre aux actes de décès de cette commune pour la même année, et de Marie Jeanne Jason, ménagère, demeurant au dit Juslenville, ci présente et consentante, lequel a justifié d’avoir satisfait à ses obligations sous le rapport de la milice nationale conformément au vœu de la loi du huit janvier mil huit cent dix sept.
Et Marie Thérèse Decheneux, cultivatrice, âgée de vingt cinq ans, un mois, demeurant à Mont, cette commune, né au même lieu, le seize ventose, an onze de la république française, correspondant au six mars mil huit cent trois, comme il est constaté par le registre aux actes de naissances de la même année, fille majeure du sieur Jean Gilles Decheneux, cultivateur, et de Catherine Lardinois, ménagère, demeurants au dit Mont, ci présents et consentants.
Lesquels nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont les publications ont été faites devant la principale porte d’entrée de notre maison commune les dimanches treize et vingt de ce mois les aux deux heures de relevée. Aucune opposition au dit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à leur réquisition et après avoir donné lecture de toutes les pièces ci-dessus mentionnées et du chapitre six du titre du code civil intitulé du mariage, avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veullent se prendre pour mari et pour femme ; chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement, déclarons au nom de la loi que les dits Jean Baptiste Beauve et Marie Thérèse Decheneux sont unis par le mariage. De tout quoi nous avons dressé acte en présence des sieurs Thomas Joseph Beauve, charpentier, âgé de quarante ans, oncle du contractant, demeurant au dit Juslenville, de Thomas Joseph Lardinois, cultivateur, âgé de septante trois ans, oncle de la contractante, demeurant au dit Mont, de Henri Joseph Gaye, appariteur, âgé de quarante quatre ans, et de Jean Lambert Depresseux, tisserand, âgé de trente cinq ans, demeurant à Theux, et après avoir reçu lecture du présent acte, le contractant et les quatre témoins ont signé avec nous, la contractante, la mère du contractant et les père et mère de la contractante ont déclaré ne savoir le faire.
M 23/05/1828 Thomas Joseph LANCEREAU et Marie Elisabeth PONDANT (n°20)
L’An mil huit cent vingt huit, du mois de mai le vingt troisième jour, à sept heures du soir, par devant Nous, Constantin Albert de Marteau, premier assesseur délégué aux fonctions d’officier de l’état civil de la commune de Theux, canton, de Spa, district de Verviers, province de Liège, sont comparus en notre maison commune et publiquement le sieur, Thomas Joseph Lancereau, fileur par mécaniques, âgé de trente deux ans, sept mois, demeurant à Juslenville, cette commune, né au même lieu, le dix sept octobre an mil sept cent nonante cinq, comme il est constaté par le registre aux actes de naissances de cette paroisse reposant dans les archives de la commune, fils majeur d’Ignace Lancereau, lequel nous a déclaré à serment que le lieu de décès et celui du dernier domicile de son père lui est inconnu, laquelle déclaration a été certifiée, aussi sous serment par les quatre témoins du présent acte, ci-dessous indiqué, qui affirment que quoiqu’ils connaissent le futur époux, ils ignorent le lieu du décès de son père et son dernier domicile, et de Marie Catherine Talbot, décédée dans cette commune le huit Messidor An treize ère républicain, correspondant au vingt sept juin mil huit cent cinq, comme il est également constaté par le registre aux actes de décès de cette commune, pour la même année.
Lequel a justifié d’avoir satisfait à ses obligations sous le rapport de la milice nationale conformément au vœu de la loi du huit janvier mil huit cent dix sept.
Et, Marie Elisabeth Pondant, ménagère, âgée de vingt deux ans, dix mois, demeurant à Juslenville, cette commune, née au même lieu le seize messidor an treize ère républicain, correspondant au quatre juillet mil huit cent cinq, comme il est constaté par le registre aux actes de naissances de cette commune, pour la même année, fille mineure des défunts Jean François Pondant et Marie Thérèse Jason, décédés au dit Juslenville le premier le treize juin mil huit cent vingt cinq, la seconde le vingt décembre mil huit cent treize, comme il est aussi constaté par le registre aux actes de décès de cette commune pour les mêmes années. Lesquels nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont les publications ont été faites devant la principale porte d’entrée de notre maison commune les dimanches onze et dix huit de ce mois, aux deux heures de relevée. Aucune opposition au dit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à leur réquisition et après avoir donné lecture de toutes les pièces ci-dessus mentionnées et du chapitre six du titre du code civil intitulé du mariage, et avoir reçu la déclaration sermentelle des contractants et des quatre témoins qu’ils n’ont plus ni aïeuls ni aïeules, tant paternels que maternels pour consentir à leur mariage, avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veullent se prendre pour mari et pour femme ; chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement, déclarons au nom de la loi que les dits Thomas Joseph Lancereau et Marie Elisabeth Pondant sont unis par le mariage, de tout quoi nous avons dressé acte en présence des sieurs Lambert Joseph Fassin, cultivateur, âgé de quarante cinq ans, demeurant au prédit Juslenville, de Noé Joseph Rivoux, maître tisserand, âgé de cinquante un ans, de Jean Lambert Depresseux, tisserand, âgé de trente cinq ans, et de Henri Joseph Gaye, appariteur, âgé de quarante quatre ans, demeurants à Theux, et après avoir reçu lecture du présent acte, ont le contractant et trois des témoins signé avec nous, la contractante et Noé Joseph Rivoux l’autre témoin ont déclaré ne savoir le faire.
M 28/05/1828 Jacque LEGENTIL et Anne Joseph BEAUVE (n°21)
L’An mil huit cent vingt huit, du mois de mai le vingt huitième jour, à trois heures après midi, par devant Nous, Constantin Albert de Marteau, premier assesseur délégué aux fonctions d’officier de l’état civil de la commune de Theux, canton, de Spa, district de Verviers, province de Liège, sont comparus en notre maison commune et publiquement le sieur, Jacque Legentil, journalier, âgé de vingt six ans, huit mois, demeurant à Pepinster, cette commune, né au même lieu le premier octobre mil huit cent et un comme il est constaté par le registre aux actes de naissance de cette commune, pour la même année, fils majeur du sieur Hubert Legentil, cultivateur, et de Catherine Rensonnet, ménagère, ci présents et consentants, demeurant au dit Pepinster. Lequel a justifié d’avoir satisfait à ses obligations sous le rapport de la milice nationale conformément au vœu de la loi du huit janvier mil huit cent dix sept.
Et Anne Joseph Beauve, cultivatrice, demeurant à Juslenville, cette commune, née au même lieu, le neuf février mil huit cent cinq, comme il est constaté par le registres aux actes de l’état civil de la même année, fille mineur de feu Jean Baptiste Beauve, décédé au dit Juslenville, le vingt quatre décembre mil huit cent vingt quatre, comme il en conste par le registre aux actes de décès de cette commune pour la même année, et de Marie Jeanne Jason, ménagère, ci présente et consentante, demeurant au dit Juslenville.
Lesquels nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont les publications ont été faites devant la principale porte d’entrée de notre maison commune les dimanches dix huit et vingt cinq de ce mois aux deux heures de relevée. Aucune opposition au dit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à leur réquisition et après avoir donné lecture de toutes les pièces ci-dessus mentionnées et du chapitre six du titre du code civil intitulé du mariage, avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veullent se prendre pour mari et pour femme ; chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement, déclarons au nom de la loi que les dits Jacque Legentil et Anne Joseph Beauve sont unis par le mariage. De tout quoi nous avons dressé acte en présence des sieurs Hubert Legentil, charpentier, âgé de vingt deux ans, frère du contractant, de Arnold Legentil, sans profession, âgé de trente ans, cousin germain du contractant, de Jean Noé Fairon, maître foulon, âgé de trente trois ans, demeurant au susdit Pepinster, et de Henri Joseph Gaye, appariteur, âgé de quarante quatre ans, demeurant à Theux, et après avoir reçu lecture du présent acte, ont les contractants les père et mère du contractant et les quatre témoins signé avec nous, la mère de la contractante a déclaré ne savoir le faire.
M 28/05/1828 Jean Pierre JACOB et Anne Marie Joseph WARNOTTE (n°22)
L’An mil huit cent vingt huit, du mois de mai le vingt huitième jour, à quatre heures après midi, par devant Nous, Constantin Albert de Marteau, premier assesseur délégué aux fonctions d’officier de l’état civil de la commune de Theux, canton, de Spa, district de Verviers, province de Liège, sont comparus en notre maison commune et publiquement le sieur, Jean Pierre Jacob, poèlier, âgé de vingt deux ans, deux mois, demeurant à Theux, né au même lieu, le quatorze mars mil huit cent et six, comme il est constaté par le registre aux actes de l’état civil de cette commune pour la même année, fils mineur de feu Servais Jacob, décédé au dit Theux, le onze mars mil huit cent vingt deux, comme il est également constaté par le registre aux actes de décès pour la même année et d’Anne Marie Gustin, ménagère, ci présente et consentante, demeurant au dit Theux.
Lequel a justifié d’avoir satisfait à ses obligations sous le rapport de la milice nationale conformément au vœu de la loi du huit janvier mil huit cent dix sept.
Et Anne Marie Joseph Warnotte, ménagère, âgée de vingt sept ans, quatre mois, vingt deux jours, demeurant au dit Theux, née au même lieu, le seize nivose an neuf, ère républicain, correspondant au six janvier mil huit cent et un, comme il est également constaté par le registre aux actes de naissances pour la même année, fille majeure du sieur Jean Guilleaume Warnotte, maréchal Ferrant et de Marie Hélène Neurai, ménagère, demeurants au même lieu, ci présents et consentants.
Lesquels nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont les publications ont été faites devant la principale porte d’entrée de notre maison commune les dimanches dix huit et vingt cinq de ce mois aux deux heures de relevée. Aucune opposition au dit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à leur réquisition et après avoir donné lecture de toutes les pièces ci-dessus mentionnées et du chapitre six du titre du code civil intitulé du mariage, avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veullent se prendre pour mari et pour femme ; chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement, déclarons au nom de la loi que les dits Jean Pierre Jacob et Anne Marie Joseph Warnotte sont unis par le mariage, de tout quoi nous avons dressé acte en présence des sieurs Jean Pierre Lepersonne, poèlier, âgé de quarante quatre ans, de Jean François Fenter, charpentier, âgé de vingt cinq ans, de Jean Lambert Depresseux, cordonnier, âgé de vingt deux ans, et de Henri Joseph Gaye, appariteur, âgé de quarante quatre ans, demeurants à Theux, et après avoir reçu lecture du présent acte, ont les contractants, le père de la contractante et les quatre témoins signé avec nous ; la mère du contractant et la mère de la contractante ont déclaré ne savoir le faire.
M 26/11/1828 Noël Joseph DEMEUSE et Catherine Thérèse DEPRESSEUX (n°31)
L’An mil huit cent vingt huit, du mois de novembre le vingt sixième jour, à quatre heures après midi, par devant Nous, Constantin Albert de Marteau, premier assesseur délégué aux fonctions d’officier de l’état civil de la commune de Theux, canton, de Spa, district de Verviers, province de Liège, sont comparus en notre maison commune et publiquement le sieur, Noël Joseph Demeuse, cordonnier, âgé de vingt huit ans, dix mois et vingt jours, demeurant à Theux, né au même lieu, le dix neuf pluviose an huit, ère républicain, correspondant au huit février mil huit cent, comme il en conste par le registre aux actes de naissance de cette commune pour la même année, fils majeur légitime de Noël Demeuse, décédé à Malmédy le six septembre mil huit cent neuf, comme il est constaté par l’extrait de son acte de décès, délivré le vingt un du courant par le dit Monsieur Faymonville, officier de l’état civil dudit Malmedy, et de Isabelle Verdin, ménagère, ci présente et consentante, demeurant au dit Theux.
Lequel a justifié d’avoir satisfait à ses obligations sous le rapport de la milice nationale conformément au vœu de la loi du huit janvier mil huit cent dix sept.
Et, Catherine Thérèse Depresseux, couturière, âgée de vingt sept ans, sept mois, demeurant à Theux, née au même lieu, le vingt six germinal an neuf, ère républicain, correspondant au seize avril mil huit cent et un, comme il est constaté par le registre aux actes de naissance de cette commune pour la même année, fille majeure de Jean Lambert Depresseux, garde forestier, demeurant au dit Theux, ci présent et consentant, et de feu Marie Louise Dardenne, décédée au même lieu le neuf décembre mil huit cent vingt sept, comme il est également constaté par le registre aux actes de décès de cette commune pour la même année.
Lesquels nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont les publications ont été faites devant la principale porte d’entrée de notre maison commune les dimanches neuf et seize de ce mois les aux deux heures de relevée. Aucune opposition au dit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à leur réquisition et après avoir donné lecture de toutes les pièces ci-dessus mentionnées et du chapitre six du titre du code civil intitulé du mariage, avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veullent se prendre pour mari et pour femme ; chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement, déclarons au nom de la loi que les dits Noël Joseph Demeuse et Catherine Thérèse Depresseux sont unis par le mariage, de tout quoi nous avons dressé acte en présence des sieurs Jean Lambert Depresseux, tisserand, âgé de trente cinq ans, et de Jean Antoine Létargez, ouvrier de fabrique, âgé de vingt six ans, demeurants à Theux, frère et beau frère de la contractante, de Pascal Couneson, ouvrier de fabrique, âgé de trente huit, demeurant à Pouillou Fourneau, cette commune, beau frère du contractant, et de Henri Joseph Gaye, appariteur, âgé de quarante quatre ans, demeurant au susdit Theux, et après avoir reçu lecture du présent acte, ont les contractants, le père de la contractante, et trois des témoins signé avec nous, la mère du contractant et pascal Couneson l’autre témoin, ont déclaré ne savoir le faire.
M 26/12/1828 Hermès François JEHIN et Marie Anne Catherine Joseph CORNESSE (n°32)
L’An mil huit cent vingt huit, du mois de décembre le vingt sixième jour, à cinq heures du soir, par devant Nous, Constantin Albert de Marteau, premier assesseur délégué aux fonctions d’officier de l’état civil de la commune de Theux, canton, de Spa, district de Verviers, province de Liège, sont comparus en notre maison commune et publiquement le sieur Hermès François Jehin, cultivateur, âgé de soixante huit ans, cinq mois, demeurant à Mont, cette commune, né au même lieu le vingt six juin mil sept cent soixante, comme il est constaté par le registre aux actes de naissances de cette paroisse reposant dans les archives communales, veuf de Judieth Fraipont, décédée au dit Mont, le vingt neuf janvier mil huit cent vingt, comme il est aussi constaté par le registre aux actes de décès pour la même année, fils majeur et légitime des défunts Hubert Jehin, et Marie Anne Etienne, décédés dans cette commune, le premier le vingt six février mil sept cent nonante trois, la seconde, le quatre mars mil sept cent nonante cinq, comme il est également constaté par le registre aux actes de décès de cette paroisse reposant dans les archives communales.
Et, Marie Anne Catherine Joseph Cornesse, cultivatrice, âgée de quarante deux ans, dix mois, demeurant à Wislez, cette commune, née au même lieu, le sept janvier mil sept cent quatre vingt six, comme il est constaté par le registre aux actes de naissance énoncé ci-dessus, fille majeure légitime de Jean François Cornesse, et d’Anne Joseph Fraipont, décédés au dit Wislez, le premier le huit juin dernier, la seconde le quatorze mars mil huit cent vingt sept, comme il est constaté par le registre aux actes de décès de cette commune pour les mêmes années.
Lesquels nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont les publications ont été faites devant la principale porte d’entrée de notre maison commune les dimanches seize et vingt trois de ce mois aux deux heures de relevée. Aucune opposition au dit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à leur réquisition et après avoir donné lecture de toutes les pièces ci-dessus mentionnées et du chapitre six du titre du code civil intitulé du mariage et avoir reçu la déclaration sermentelle des contractants et des quatre témoins qu’ils n’ont plus ni aïeuls ni aïeules, tant paternels que maternels pour consentir à leur mariage, avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veullent se prendre pour mari et pour femme ; chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement, déclarons au nom de la loi que les dits Hermès François Jehin et Marie Anne Catherine Joseph Cornesse sont unis par le mariage. De tout quoi nous avons dressé acte en présence des sieurs Nicolas François Joseph Cornesse, cultivateur, âgé de quarante ans, frère de la contractante, demeurant au dit Wislez, de Henri Joseph Gaye, appariteur, âgé de quarante quatre ans, de Jean Lambert Depresseux, tisserand, âgé de trente cinq ans, et de Jean Antoine Letargez, ouvrier de fabrique, âgé de vingt six ans, demeurants à Theux, et après avoir reçu lecture du présent acte, ont les contractants et les quatre témoins signé avec nous.
M 11/02/1829 Jean Lambert DEPRESSEUX et Marie Catherine Thérèse JACOB (n°02)
L’An mil huit cent vingt neuf, du mois de février le onzième jour, à trois heures de relevée, par devant Nous, Constantin Albert de Marteau, premier assesseur délégué aux fonctions d’officier de l’état civil de la commune de Theux, canton, de Spa, district de Verviers, province de Liège, sont comparus en notre maison commune et publiquement le sieur, Jean Lambert Depresseux, cordonnier, âgé de vingt trois ans, demeurant à Theux, né au même lieu le vingt neuf février mil huit cent six, comme il en est constaté par les registres aux actes de l’état civil de cette commune pour la même année, fils mineur légitime de Lambert Antoine Depresseux cordonnier et d’Anne Joseph Lacroix ménagère, demeurant au dit Theux, ci présents et consentants.
Lequel a justifié d’avoir satisfait à ses obligations sous le rapport de la milice nationale conformément au vœu de la loi du huit janvier mil huit cent dix sept.
Et Marie Catherine Thérèse Jacob, ménagère, âgée de vingt quatre ans, sept mois, demeurant à Theux, née au même lieu, le quatre messidor an douze ère Républicain, correspondant au vingt trois juin mil huit cent quatre comme il est constaté par le registre aux actes de naissances de cette commune, pour la même année, fille mineure légitime de feu Servais Jacob, décédé dans cette commune le onze mars mil huit cent vingt deux, comme il est également constaté par le registre aux actes de décès de la même année et d’Anne Marie Gustin, ménagère, demeurant au dit Theux, ci présente et consentante.
Lesquels nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont les publications ont été faites devant la principale porte d’entrée de notre maison commune les dimanches premier et huit de ce mois aux deux heures de relevée. Aucune opposition au dit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à leur réquisition et après avoir donné lecture de toutes les pièces ci-dessus mentionnées et du chapitre six du titre du code civil intitulé du mariage, avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veullent se prendre pour mari et pour femme ; chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement, déclarons au nom de la loi que les dits Jean Lambert Depresseux et Marie Catherine Jacob, sont unis par le mariage. De tout quoi nous avons dressé acte en présence des sieurs Jean Nicolas Houbeau, cordonnier, âgé de vingt huit ans, de Gaspar Nicolas Bonnelance, tanneur, âgé de quarante ans, de Henri Joseph Gaye, appariteur, âgé de quarante cinq ans, et de Jean Guilleaume Warnotte, maréchal ferrant, âgé de vingt deux ans, demeurants (sic) à Theux, et après avoir reçu lecture du présent acte, ont les contractants et les quatre témoins signé avec nous, les père et mère du contractant et la mère de la contractante ont déclaré ne savoir le faire.
M 24/02/1829 Jean Pierre HOUBEAU et Jeanne Catherine CARO (n°05)
L’An mil huit cent vingt neuf, du mois de février le vingt quatrième jour, à six heures du soir, par devant Nous, Constantin Albert de Marteau, premier assesseur délégué aux fonctions d’officier de l’état civil de la commune de Theux, canton, de Spa, district de Verviers, province de Liège, sont comparus en notre maison commune et publiquement le sieur, Jean Pierre Houbeau, cultivateur, âgé de vingt quatre ans, neuf mois et treize jours, demeurant à Theux, né au même lieu, le vingt un floréal an douze ère républicain correspondant au onze mai mil huit cent quatre, comme il est constaté au registre aux actes de naissances de cette commune pour la même année, mineur, fils légitime de feu Etienne Houbeau, décédé au dit Theux, le vingt trois octobre mil huit cent dix huit, comme il est aussi constaté par le registre aux actes de décès pour la même année, et de Marguerite Jehin, ménagère, demeurant au susdit Theux, ci présente et consentante.
Lequel a justifié d’avoir satisfait à ses obligations sous le rapport de la milice nationale conformément au vœu de la loi du huit janvier mil huit cent dix sept.
Et Jeanne Catherine Caro, couturière, âgée de vingt sept ans, dix mois et vingt huit jours, demeurant à Theux, née au même lieu, le sept germinal an 9 de la république Française, correspondant au vingt sept mars mil huit cent un, comme il est constaté par le registre aux actes de naissance de cette commune, pour la même année, fille majeure légitime de Grégoire François Caro, journalier, et de Marie Jeanne Franquinet, ménagère, demeurants (sic) au susdit Theux, ci présents et consentants.
Lesquels nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont les publications ont été faites devant la principale porte d’entrée de notre maison commune les dimanches huit et quinze de ce mois aux deux heures de relevée. Aucune opposition au dit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à leur réquisition et après avoir donné lecture de toutes les pièces ci-dessus mentionnées et du chapitre six du titre du code civil intitulé du mariage, avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veullent se prendre pour mari et pour femme ; chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement, déclarons au nom de la loi que les dits Jean Pierre Houbeau et Jeanne Catherine Caro, sont unis par le mariage, et aussitôt les dits époux nous ont déclaré qu’il est né d’eux un enfant du sexe masculin inscrits sur les registres de l’état civil de cette commune sous les noms et prénoms de Jean Grégoire Caro, le vingt un janvier dernier, lequel ils reconnaissent pour leur fils.
De tout quoi nous avons dressé acte en présence des sieurs Jean Lambert Houbeau, cultivateur, âgé de trente cinq ans, frère du contractant, demeurant à Juslenville, cette commune, de Adam François Servais, musicien, âgé de cinquante un ans, de Ernest François Bourguignon, maréchal Ferrant, âgé de quarante huit ans, beaux frères du contractant, et de Martin Thys, ouvrier de fabrique, âgé de vingt quatre ans, beau frère de la contractante, demeurants (sic) à Theux, et après avoir reçu lecture du présent acte, ont les contractants, la mère du contractant, les père et mère de la contractante, et trois des témoins signé avec nous, Martin Thys, l’autre témoin a déclaré ne savoir le faire.
M 02/03/1829 Jean Guillaume WARNOTTE et Marie Charlotte THOUMSON (n°06)
L’An mil huit cent vingt neuf, du mois de mars le deuxième jour, à neuf heures du matin, par devant Nous, Constantin Albert de Marteau, premier assesseur délégué aux fonctions d’officier de l’état civil de la commune de Theux, canton, de Spa, district de Verviers, province de Liège, sont comparus en notre maison commune et publiquement le sieur, Jean Guilleaume Warnotte, maréchal Ferrant, âgé de vingt ans, onze mois et vingt deux jours, demeurant à Theux, né au même lieu, le huit mars mil huit cent huit comme il est constaté par le registre aux actes de l’état civil de cette commune pour la même année, fils mineur légitime de Jean Guilleaume Warnotte, maréchal Ferrant et de Marie Hélène Neuray, ménagère au dit Theux, consentants.
Lequel a justifié d’avoir satisfait à ses obligations sous le rapport de la milice nationale conformément au vœu de la loi du huit janvier mil huit cent dix sept.
Et Marie Charlotte Thoumson, couturière, âgée de vingt un ans, deux mois et six jours, demeurant à Theux, née au même lieu le vingt six décembre mil huit cent et sept, comme il est constaté par le registre aux actes de l’état civil de cette commune pour la même année, fille majeure légitime de Jean Nicolas Thoumson, platineur et de Marie Catherine Godet, ménagère, demeurant au susdit Theux, ci présents et consentants.
Lesquels nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont les publications ont été faites devant la principale porte d’entrée de notre maison commune les dimanches premier et huit du mois de février dernier. Aucune opposition au dit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à leur réquisition et après avoir donné lecture de toutes les pièces ci-dessus mentionnées et du chapitre six du titre du code civil intitulé du mariage, avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veullent se prendre pour mari et pour femme ; chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement, déclarons au nom de la loi que les dits Jean Guilleaume Warnotte et Marie Charlotte Thomson sont unis par le mariage.
De tout quoi nous avons dressé acte en présence des sieurs Mathieu Joseph Warnotte, maréchal ferrant, âgé de vingt cinq ans, frère du contractant, de Henri Lambert Beco, menuisier, âgé de vingt huit ans, de Jean Lambert Depresseux, cordonnier, âgé de vingt deux ans, et de Henri Joseph Gaye, appariteur, âgé de quarante cinq ans, demeurants (sic) à Theux, et après avoir reçu lecture du présent acte, ont les contractants, le père du contractant, le père de la contractante et les quatre témoins signé avec nous, la mère du contractant et la mère de la contractante ont déclaré ne savoir le faire.
M 30/09/1829 Jean Melchior LEPERSONNE et Anne Joseph JASON (n°21)
L’An mil huit cent vingt neuf, du mois de septembre le trentième jour, à onze heures du matin, par devant Nous, Constantin Albert de Marteau, premier assesseur délégué aux fonctions d’officier de l’état civil de la commune de Theux, canton, de Spa, district de Verviers, province de Liège, sont comparus en notre maison commune et publiquement le sieur, Jean Melchior Lepersonne, journalier, âgé de vingt sept ans, huit mois et vingt deux jours, demeurant à Marché cette commune, né au même lieu, le seize nivoze an dix de la République Française, correspondant au six janvier mil huit cent deux, comme il est constaté par le registre aux actes de naissances de cette commune pour la même année, fils majeur et légitime de Jean François Lepersonne, décédé dans cette commune, le quatorze avril mil huit cent vingt cinq, comme il est aussi constaté par le registre aux actes de décès pour la même année, et de Catherine Jacob, ménagère, ci présente et consentante, demeurant au dit Marché.
Lequel a justifié d’avoir satisfait à ses obligations sous le rapport de la milice nationale conformément au vœu de la loi du huit janvier mil huit cent dix sept.
Et Anne Joseph Jason, couturière demeurant au dit Marché, âgée de vingt quatre ans, un mois, et vingt jours, née au même lieu le dix neuf Thermidor an treize ère républicain correspondant au sept avril mil huit cent cinq, comme il est constaté par le registre aux actes de naissance de cette commune pour la même année, fille majeure et légitime des défunts Pascal François Jason et de Aïlii Joseph Cornet, décédé au susdit Marché, le premier le vingt quatre mars mil huit cent treize, la seconde le trente un janvier mil huit cent vingt comme il est aussi constaté par les registres aux actes de l’état civil de cette commune pour les mêmes années laquelle en remplacement de ses père et mère est assistée de Anne Joseph Cornet, ménagère demeurant à Theux, son aïeule du coté paternel, ci présente et consentante, son aïeul Adam François Jason étant aussi décédé le treize avril mil huit cent onze, comme il est constaté par le registre aux actes de l’état civil de cette commune.
Lesquels nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont les publications ont été faites devant la principale porte d’entrée de notre maison commune les dimanches vingt et vingt sept de ce mois les aux deux heures de relevée. Aucune opposition au dit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à leur réquisition et après avoir donné lecture de toutes les pièces ci-dessus mentionnées et du chapitre six du titre du code civil intitulé du mariage, avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veullent se prendre pour mari et pour femme ; chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement, déclarons au nom de la loi que les dits Jean Melchior Lepersonne et Anne Joseph Jason sont unis par le mariage. De tout quoi nous avons dressé acte en présence des sieurs, Jean François Lepersonne, journalier, âgé de trente un ans, frère du contractant, de Servais François Raxhon, cultivateur âgé de vingt huit ans, cousin issu germain du contractant, demeurants (sic) au dit Marché, de Henri Lambert Beco, menuisier âgé de vingt neuf ans, et de Henri Joseph Gaye, appariteur, âgé de quarante cinq ans, demeurants à Theux, et après avoir reçu lecture du présent acte, nt l’aïeule de la contractante, et trois des témoins signés (sic) avec nous, les contractants, la mère du contractant et Jean François Lepersonne, l’autre témoin ont déclaré ne savoir le faire.